Bulletin N°10 de Planete-Senegal.com (1er essai en couleur)


SOMMAIRE DE CE BULLETIN :

1- Infos du jour (aujourd'hui avec le SUD et le Soleil )
2 - Nouvelles de senegalaisement et des cours de wolof
3 - Les messages des sénégaliens (vous êtes bien des sénégaliens non ?)
4- La météo du jour (aujourd'hui Matam)
5- Infos diverses
6- L'Association du Jour (SMS)
7- Le site du jour (Aujourd'hui Saint-Louis et l'Hôtel Oasis)



1) Infos du Jour (les articles entiers sont disponibles sur la page
Infos/médias de www.planete-senegal.com)

 

CANAL DU BAOL OU CANAL DU CAYOR (avec Sud)

Le dossier casse-tête de l'hydraulique

Depuis la formation du nouveau gouvernement et la recomposition des ministères, le silence observé sur certains projets et dossiers augurent de l'importance ou du manque d'intérêt que leur accorde le gouvernement sénégalais. Parmi eux, le canal du Cayor, un projet controversé de l'ancien gouvernement, que l'actualité d'un autre canal dit du Baol semble avoir éclipsé ou définitivement enterré. Faute d'avoir suscité l'intérêt autour de lui, l'Etat avait même émis le souhait de voir des privés reprendre ce projet immense d'un coût 150 milliards de Fcfa. Aujourd'hui que Wade et son équipe sont au pouvoir les orientations en matière de politique hydraulique semblent tout à fait différentes. Et voilà que la priorité en matière d'alimentation en eau s'oriente vers la ville sainte de Touba avec comme pôle d'attraction un nouveau canal, celui du Baol.

Le président Abdou Diouf, voulait un canal pour le Cayor. Me Wade, élu président de la République, veut lui son canal pour le Baol. Comme l'ouvrage multifonctionnel destiné en son temps aux Cayoriens, celui du Baol semble être un des grands projets du septennat de Wade. Il en a parlé plusieurs fois lors de la campagne. Aujourd'hui, à la tête de l'Etat, le voilà qui fait de la question de l'alimentation en eau de la ville de Touba, un challenge important de son mandat présidentiel. Mais à la vérité, nul ne saurait dire aujourd'hui, quel serait le profil d'un tel projet et combien il devrait coûter? A la différence du canal du Cayor, qui a eu à bénéficier de nombreuses études de faisabilité techniques, financières, d'impact socio-économique et financières, le Baol-canal reste le fruit d'une volonté affichée par un homme décidé de soulager une région fatiguée du centre Sénégal où la ville de Touba est devenue au fil des ans une métropole d'équilibre qui mobilise autour d'elle, le concentré des problèmes que peut vivre une ville émergente.

Avec un arrière pays pauvre, où le paysannat ne compte encore que sur les quelques gouttes d'eau qui tombent tous les ans, Touba attire toutes les franges rurales en quête de survie allant de Darou Mousty à Taïsir et de Diourbel à Darou Marnane. Marnane, (soif en Woloff), c'est le souhait de toutes ces populations qui vivent au quotidien dans la quête de l' eau dont la qualité laisse souvent à désirer.

La justification du canal du Baol est dans cette volonté de doter le centre du pays en eau de qualité, en cherchant avant tout à répondre à la pénurie constatée pendant le grand magal. Plus qu'une recommandation, c'est un signal d'alerte que donne le président Abdoulaye Wade à Bathily, dans sa lettre de mission. Et le canal du Baol reste un moyen de sortir Touba de ses graves pénuries d'eau. Cependant, la question agitée aujourd'hui , par les techniciens et les hydrauliciens, est de savoir comment rentabiliser un tel ouvrage, sa maintenance et le coût des infrastructures annexes qui vont suivre, si la ville sainte continue à ne pas rémunérer le coût de l'eau? En le destinant prioritairement à assurer l'alimentation eau, quelle serait entre autres sa durée de rentabilité quand on sait que le canal du Cayor était également destinée à la promotion du maraîchage et de la foresterie.

Touba est certes l'une des seules villes sénégalaises où la distribution d'eauest gratuite. Et cela depuis plusieurs années. En ne faisant pas partie du réseau interconnecté de la Sones, la ville vit de ce privilège, mais elle ne peut répondre face à la faiblesse de l'offre, à la demande que peut susciter un magal fort de la présence d'au moins un million de personnes. Le problème de pénurie d'eau est devenu récurrent depuis l'année 1998, lors des deux derniers magals. Interpellée à chaque fois, sur la question, la Sénégalaise des Eaux (Sde) a préféré dégager en touche, arguant du fait que Touba ne fait pas partie de son réseau. Si on trouvait le moyen de mettre Touba dans le réseau, notent les responsables, les problèmes d'eau ne seraient pas aussi graves. Mais il faut payer les coûts des amortissements des équipements qui ont permis le transport de l'eau depuis le lac de Guiers jusqu'à Touba.

Une question de priorité

Jusque-là, on semble, du côté du ministère de l'Energie et de l'Hydraulique, beaucoup plus préoccupé à se familiariser avec les dossiers. Mais sans doute que face aux urgences, aucun répit n'existe sur les questions vitales de l'eau à Touba et dans le centre du pays. En centrant ces préoccupations sur Touba, certains pensent que Me Wade est entrain de faire un calcul politique, les problèmes étant ailleurs. Car, au-delà de Touba, la question de l'eau est centrale au Sénégal. Des îles du Saloum à la région du Sénégal oriental. A Kédougou, à partir du mois de mars, les réserves d'eau tarissent, et les robinets restent fermés pendant plusieurs jours, sans verser la moindre goutte. Dans les îles du Saloum, comme dans une bonne partie de cette région limitrophe du Baol, l'eau douce potable est une vieille quête des populations. Plus prés de nous, Gandiaye est encore privée d'eau depuis quelques jours. A Falia, dans l'arrondissement de Niodior, le dessalement de l'eau de mer, ne peut se faire à grande échelle et les populations boivent encore de l'eau salée dans presque toutes les îles.

Du fait de l'absence d'une politique cohérente, le gouvernement n'est-il pas en train de rater le départ d'une véritable politique d'accès à l'eau, en concentrant ses efforts sur Touba et le canal du Baol. Abdoulaye Bathily, natif du département de Bakel acceptera-t-il de se laisser embarquer dans les errances d'une promesse politique, dont tous les tenants et les aboutissants ne sont pas clarifiés, concernant la rentabilité des ouvrages qui seront érigés. Au-delà du discours politicien, le problème de l'alimentation en eau par le passage d'un canal est une urgence, mais il faudra forcément passer par des études.

Dans le centre du Sénégal, Me Wade a raison de penser à Touba, disent certains. Un ouvrage de cette dimension devrait permettre aux populations de Bambey, Keur Mérina Diop, Touba, de disposer de l'eau potable. Mais le dossier de l'eau à Touba et la construction d'un nouvel ouvrage posent également une autre question: celle de la problématique foncière et du développement local en général, dans cette région.

Mame Aly KONTE

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BALLET D'AFRIQUE NOIRE EN TOURNEE EN CALIFORNIE (avec Sud)

Défection de danseurs sénégalais

Plus de la moitié des danseurs sénégalais du Ballet d'Afrique Noire ont disparu dans Berkeley (Californie) où ils se produisaient, ont annoncé jeudi 13 avril 2000, les promoteurs de la tournée.

"Ils ont donné leur représentation et quitté le bâtiment et nous n'avons plus entendu parler d'eux", a déclaré Hollis Ashby, un responsable de Cal Performances. "Il ne reste pas assez de danseurs pour donner le spectacle", a précisé l'un des promoteurs. Les artistes du Ballet allaient entamer leur 12ème et dernière semaine de représentation aux Etats-Unis avant de rentrer au Sénégal. Selon les promoteurs de la tournée et des membres des services américains d'immigration (INS), les 17 danseurs sénégalais qui ont disparu de leur hôtel depuis dimanche, auraient le projet de demander l'asile politique aux Etats-Unis.

Seuls 16 danseurs du groupe, dont le visa arrive à expiration le 20 avril, n'ont pas fait défection.

Le Ballet d'Afrique Noire, l'une des plus anciennes compagnies de danse folklorique africaine, a été créé en 1958 au Sénégal.

AFP

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Documentaire : Faut-il rouvrir le procès de Valdiodio Ndiaye ? (avec le Soleil)

Entre un " Non " à De Gaulle et une incarcération à Kédougou existe-t-il un lien ? Dans le documentaire "Valdiodio et l’indépendance du Sénégal ", le culte de la dignité chez un " nationaliste " rencontre le souci d’émancipation manifesté par un peuple. C’est une fille qui raconte son père. Sa voix est portée en écho par celles du Pr. Iba Der Thiam, Robert Badinter, Mamadou Dia et Mamadou Diouf. Au nom de la " vérité " et loin de tout ressentiment.
La gamine était âgée de dix ans lorsque son père allait en procès pour " tentative de coup d’Etat ". Aujourd’hui, la productrice-réalisatrice est devenue une femme d’âge mûr. Aminata Ndiaye Leclerc porte bien ses 48 ans mais, surtout le poids d’images qui n’ont pas jauni. Les souvenirs de son ministre de l’intérieur de père, contraint à passer douze années de sa vie au centre pénitentiaire spécial de Kédougou. Ce bout de femme au teint clair et au regard vif s’emballe dès qu’il s’agit d’aborder cette tranche de son vécu. Elle a pris sa caméra, fouillé dans les archives du ministère de la Communication du Sénégal, piqué quelques morceaux d’histoire à Pathé Cinéma en France pour une grosse mise au point en sons et en images : un documentaire de 52 minutes diffusé en avant-première mercredi dernier au Centre culturel français. " Les Européens ne connaissent que Senghor, mais l’homme de l’indépendance, c’est Valdiodio. Il fallait l’installer dans l’histoire de l’Afrique car à l’école, il n’ y a peut-être que deux paragraphes sur lui. Et toute ma vie, j’ai porté ce film en moi. Je me suis dit : un jour, je ferai ça ! " Et ce jour a tardé à venir. À l’en croire, le " Non " de son père à la communauté française le 26 août 1958 lui vaudra, à elle, d’essuyer plusieurs autres " Non " de la part des producteurs français. " Je me suis battue. Les gens pensaient que j’allais m’attaquer à Senghor. Quelques-uns de mes interlocuteurs m’ont même fait savoir que ce film serait inopportun tant que Senghor serait en vie. J’avais certes, au fond de moi, un sentiment d’injustice, mais je ne ressentais aucune haine envers qui que ce soit parce que je voulais faire un film qui véhicule la pensée de mon père. J’ai pardonné. Pour preuve, mon père aurait-il vu ce film qu’il n’en serait pas catastrophé. Tenez, à l’annonce de la mort de Philippe Senghor, il était affecté comme si rien ne s’était jamais passé entre le père de celui-ci et lui. Il n’a jamais connu la rancune " explique t-elle. "Il n’était pas un briscard de la politique".
Dans le film, les éloges des témoins de l’histoire à l’endroit de son père ne déparent pas l’admiration qu’elle lui porte, elle sa fille. " Le face à face avec De Gaulle était lourd. Tout le monde ne pouvait pas le supporter. C’est une œuvre de vérité à laquelle Valdiodio devait nécessairement faire face. Il n’était pas un briscard de la politique. Il croyait à des choses, des valeurs. C’était un humaniste, un homme politique pour qui la vie n’a de sens que lorsqu’elle repose sur la dignité. Pour cela, il n’était pas l’idéal d’homme politique " selon le Professeur Iba Der Thiam qui intervient dans le documentaire.
Dignité ? C’est là un mot auquel tient Aminata Ndiaye Leclerc. Si, dit-elle, elle n’a pas filmé le centre pénitentiaire de Kédougou, c’est parce qu’elle ne voulait pas donner de son père l’image de quelqu’un qui se plaint. Cet esprit vif qui se dit avoir été " expulsé " en même temps que le reste de sa famille en direction de la France, n’aura revu son père qu’au bout de sa dixième année d’incarcération. Les premiers mots, les premières images, les premières émotions ? " Indicible ! " se contente de répondre la réalisatrice avant de poursuivre : " Je pense que Kédougou, cela a été dur pour lui. Ma mère avait droit à une heure de visite par mois et, tenez bien, en présence d’un gardien. Au début aussi, mon père apercevait la tête du président du Conseil, Mamadou Dia, qui était dans la cellule d’à côté. On a relevé le mur de quelques briques. En douze ans, ils n’ont pas communiqué entre eux ! "
Ce Mamadou Dia-là, tenu loin de son ami d’infortune, parlera dans le film. " Nous représentions, dit-il, une génération qui pensait que nous étions des peuples comme les autres. Capables de création et de progrès. Sur ce plan, j’ai rencontré un enthousiasme de Valdiodio " dit-il. Suffisant pour que le professeur Iba Der Thiam rappelle ce mot de Foccart dans ses mémoires : " Valdiodio était dangereux pour la France ". Fait curieux, les tracasseries de Aminata Ndiaye Leclerc pour trouver un financement de 70 millions de francs Cfa ont pris fin à la mort du Monsieur Afrique de l’Elysée. Une coïncidence ? " Je ne sais pas " sourit-elle.
Aujourd’hui, cette femme vit en France et séjourne au Sénégal tous les dix-huit mois. Son père a quitté ce monde en 1984, mais elle a toujours en elle une prière : que le procès soit rouvert. Le film, un pas vers la réhabilitation de l’ancien ministre de l’intérieur du président Senghor ? " Je me suis dit que ce n’est pas à moi de réhabiliter mon père. Et même réhabiliter, amènerait à dire que tout le monde pense qu’il est coupable alors que ce n’est pas le cas. Je trouve seulement trop injuste qu’on ne parle pas des évènements de 1962 " objecte t-elle avec, en filigrane, le thème de l’élimination des élites intellectuelles.
Mamadou Diouf du Codesria salue l’un des ces " nationalistes qui voulaient réinscrire l’Afrique dans l’histoire du monde " et Robert Badinter trouve dommage que des Etats jeunes se privent de telles compétences. Tout ceci corrobore la formule tirée d’une des lettres écrites en prison par Valdiodio Ndiaye et adressée à Claire, sa femme. Il disait dans ce texte qu’ " en Afrique, la politique est une tragi-comédie où des cabotins prennent le rôle de Shakespeare ".
Les évènements politiques suivis de morts d’hommes qui ont eu lieu en 1965 au Congo lui ont inspiré cette réflexion.
Habib Demba Fall


2) Des Nouvelles de Planete-Senegal.com et des cours de wolof :
Salut à tous les sénégaliens. Nangènedef ? Cette lettre d'information est envoyée aujourd'hui à 2937 personnes à travers le monde ! Ce bulletin ne demande donc qu'à s'améliorer grâce à vos idées et à votre participation ! Ce premier essai en couleur sera j'espère concluant (sinon excusez-moi du désagrément !)
Concernant la dépêche d'hier (la mer qui s'allume !!!), ce n'était pas une farce d'Avril mais bel et bien une réalité. Je remercie les dizaines de sénégaliens qui nous ont répondu pour nous donner quelques explications. Voici quelques réactions :


A bientôt sur planete-senegal.com et n'hésitez pas à participer à ce bulletin ! Une seule adresse :
soumawaye@metissacana.sn


3) Les messages des senegaliens (disponible également sur le forum de
planete-senegal.com à www.planete-senegal.com/forum/) :

Ecrit par Nathalie natou007@moncourrier.com le Avril 18, 2000 at 15:42:17:
Salut, mon nom est Nathalie, je demeure à Montréal, au Québec. En juin prochain je pars pour le Sénégal, plus précisémment, je vais à Mampatim. Je demande votre aide à ce sujet... est-ce que quelqu'un sait où se trouve Mampatim ??? et est-ce que vous avez des activités à me proposer pour mon arivée à Dakar (et dans les environs) merci beaucoup de prendre le temps de me répondre. Et si vous voulez des informations sur mon petit coin de pays, il me fera plaisir de vous en parler.
Aurevoir


Ecrit par solen Nicolon le Avril 14, 2000 at 02:12:48:
bonjour,
Je travaille actuellement sur un mémoire de maitrise de lettres Modernes a
l'université de Nantes qui traite des oeuvres de CKEIKH HAMIDOU KANE.
Sauriez-vous si cet écrivain possède une adresse e-mail ?
merci de votre coopération et continuer à entretenir la qualité de votre site.
salutations sincères
Solen Nicolon

Je suis une ètudiante italienne et je suis en train de preparer une thèse en ethnologie dans l'universitè de Bari en Italie.
Je voudrais recevoir (si est possible) tous les renseignements possibles en ce qui concerne une bibliographie compete de la culture Sènègalaise,
qui est, en part, le sujet de ma thèse sur l'immigration senegalaise
en Italie. J'accepterais aussi volentiers des conseils et d'autres contacts. Sure d'une votre reponse, je vous remercie.
Salutations
PAOLA ANDRISANI
e-mail : paandris@tin.it

Ecrit par Africa Guerrero le Avril 13, 2000 at 06:07:30:
Bon jour. je aimarai aprendre mandinge, pour internet
il y a quelque possibilité?
Africa
koumera@yahoo.es


4) La Météo : Aujourd'hui Matam
Mis à jour: 18:00 UTC le 19 Avril 2000
observé à Matam, Senegal
Les températures 105° F / 41° C
Index de chaleur 105° F / 41° C
Humidité 21%
Point de saturation 59° F / 15° C
Vent Est à 9 mph / 14.5 km/h
Pression 29.72 pouce / 1007 hPa
Conditions météo Couvert
Visibilité 5 Miles / 8 Kilomètres

Visitez également la météo en direct complète des plus grandes villes du Sénégal sur
la page météo de www.planete-senegal.com


5) Infos diverses

Deux fêtes culturelles à noter dans son agenda :
L'Edition 2000 du Carnaval de Kafountine qui est consultable sur le web à
l'adresse suivante : http://www.casamance.net/kafountine2000/
et le FESTIVAL DE JAZZ DE SAINT LOUIS aura lieu cette année
2000 du 31 mai au 4 juin 2000
Vous assisterez à l'un des festivals de Jazz de renommée mondiale ,
attirant les plus grands noms internationaux du Jazz. ..
(voir le site http://hoteloasis.free.fr/   )


 6) L'association du jour : l'ASC Kamayaan

Kafone fait partie de kadjinolle qui est un super-village divisé administrativement en 3 villages: Hassouka, Cagnao et Kafone où j'habite. Chacun de ces trois villages dispose d'une association sportive etculturelle qui sont des organisations des jeunes du village. Les objectifs de ces ASC sont mulltiples.
1-Promouvoir la culture du terroir
2-Développer la pratique du sport
3-Assurer l'animation du village
4-Améliorer les conditions de vie des habitants
5-Oeuvrer au développement économique du village

Pour ce faire, chaque association dispose d'un centre culturelle pour l'organisation des diverses activités culturelles, d' une équipe de football, d'une équipe d'handball féminin et d'une troupe théatrale. Le financement des associations est assuré par les activités théatrales et récréatives organisées et par les contributions annuelles des membres. En outre , elles font souvent appel à la générosité de personnes extérieures dans le cadre de leurs divers projets. Des sections des ASC existent à Dakar et à ziguinchor et jouent un rôle de soutien financier aux activités de l'organisation. Dans le cas de kafone, il y a l'association des ressortissants de Kafone à Dakar qui ne regroupe pas seulement les jeunes mais tous les resortissants vivant à Dakar.Depuis de nombreuses années cette association oeuvre à la mesure de ses moyens pour améliorer les conditions de vie de ceux qui sont restés au village. Elle a mis en place un progamme de prévention du paludisme par la distribution massive de chloroquine à chaque début d'hivernage. Un Congrés est organisé chaque année au mois d'aôut où tous les problèmes du village sont débattus

http://www.multimania.com/diedhiou/kafo.html

Visitez également la page association de www.planete-senegal.com
Si vous-même dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le Sénégal, n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail !


7) Le site du jour : Saint-Louis et l'Hôtel Oasis.
La vie est un long fleuve tranquille ? Saint-Louis en tout cas montre le contraste d'une ville pleine de vie, et d'une citée qui n'a pas oublié son passé.
Nicole et Nicolas vous présente la ville dans laquelle ils ont décidé d'habiter et de travailler en ouvrant l'hôtel Oasis. Pour ceux qui auront la chance
d'aller au Festival International de Jazz de Saint-Louis fin mai, pensez à reserver vos place car les visiteurs sont nombreux !!!
Venez donc visiter virtuellement Saint-Louis sur le site de l'Oasis !

http://hoteloasis.free.fr/
Nicolas Fonck et Nicole Fonck Deruisseau
Route de l'hydrobase
BP 379 (langue de barbarie)
Saint Louis Sénégal
T
él / Fax : 00-221/961 42 32
Email : nicooasissl@ns.arc.sn
Si vous avez fait un site parlant du Sénégal, et voulez le voir paraître dans cette rubrique, n'hésitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'êtes pas un webmaster chevronné (!) et voulez voir votre expérience publiée sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail vos textes et photos qui seront
transformés en page web sur le serveur planete-senegal.com.



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