Bulletin N°46

1- Infos du jour (aujourd'hui le Soleil, Walfadjiri)

2 - Nouvelles de senegalaisement et des cours de wolof

3 - Les messages des sénégaliens

4- La météo du jour (aujourd'hui Kédougou)

5- Infos diverses (Festival, Maison à louer, l'agenda, )

6- L'Association du Jour (le Dojo Atlantic Nord ( DANPA )

7- Le site du jour (aujourd'hui Saintlouisdusenegal.com)

Vous pouvez quotidiennement consulter les articles des quotidiens sénégalais sur la page Infos/médias de www.planete-senegal.com)

Le parc de Niokolo Koba s’apprête à recevoir 40 éléphants du Burkina Faso

Revaloriser la faune pour la mettre au service du développement et la lutte contre le braconnage sont au centre des activités des agents du Parc national de Niokolo Koba (PNNK). A présent, le sillage dans lequel les gardes faunes s’engouffrent, c’est au niveau de la sauvegarde du potentiel faunique et floristique. Mamadou Sidibé, l’adjoint au Conservateur du Parc national du Niokolo attire l’attention sur les pillages des populations de rôniers et des animaux. La réserve du PNNK, instituée depuis 1954 et couvrant 913 mille ha au cœur de la région orientale, n’échappe pas à la règle. Le programme mis en place dans ce cadre a commencé par le décompte et le bornage du PNNK. Pour l’instant, c’est l’assainissement avec la destruction des campements des braconniers que dirige le Lieutenant Mamadou Sidibé.
Le parc national de Niokolo Koba s’apprête aussi à recevoir des 40 éléphants qui vont s’ajouter aux locaux. Ils viennent du Burkina Faso. A ce niveau, des voyages de reconnaissance ont été effectués. Au niveau local, des stratégies sont mises en œuvre pour assurer les patrouilles des lieux. Les éléphants qui sont présentement dans la réserve du PNNK ont finalement adopté une nouvelle vie. Leur système de défense contre les nombreuses agressions et braconnages les ont poussés à échapper à tout champ de vision. Le démembrement qui est à sa troisième phase a révélé des crottes de 3 jours exposés au niveau du poste de garde de Niokoko Koba sur la nationale 7 (Tamba-Kédougou).
A côté celle des clans de derby, la plus grande antilope de l’Ouest africain avec 1200 kg. Comme le projet FACFEM, le projet “AGIR” va aussi intervenir pour la préservation des ressources du parc trop exploitées, trop convoitées à présent, comme l’indique M. Demba Bâ, le directeur des Parcs nationaux qui a procédé au lancement de ses projets. L’innovation reste l’implication des populations dans la gestion. Les instructions des autorités vont permettre de suivre le parc.
Au premier chef, les populations qui vont bénéficier d’une attention avec l’installation de campements touristiques, la création d’écoles fauniques et l’exploitation à la périphérie des produits non ligneux. La gestion et le contact avec les populations sont établis. Mais jusqu’à présent, des incursions malheureuses restent le lot quotidien dont les gardes faunes doivent faire face. Cela avant l’introduction de 40 éléphants, l’espèce la plus emblématique, dira le directeur des parc. Maintenant, au niveau des populations périphériques, on mise sur l’introduction de ces éléphants, selon M. Mady Ndiaye, le président de l’association des amis de la nature.
PAPE DEMBA SIDIBE (Le Soleil)

Après les premières pluies à Tamba, les producteurs de coton réclament du matériel agricole

C’est dans la nuit du mercredi au jeudi 16 mai que la ville de Tamba a reçu ses premières pluies. Précédée par un vent très violent accompagné de poussière, la pluie de 6 mm a rafraîchi la ville frappée depuis plus de 2 mois par une forte canicule qui oscillait entre 39 et 43°. Tamba, pour la première fois, a reçu la pluie avant et/ou en même temps que Kédougou où des traces ont été enregistrées.
Cette pluie est tombée après zéro heure. Cette fine pluie a aussi coïncidé avec la rencontre entre la Fédération nationale des producteurs de coton (FNPC) et la Sodefitex à Mako, un village surplombant majestueusement le fleuve Gambie, à 700 km de Dakar.
Cette rencontre, qui fait le bilan de la campagne 2001/2002, marque en même temps le lancement officiel de la campagne 2002-2003. Solidairement, avec la FNPC, la Sodefitex, selon son DG Ahmed Bachir Diop, veut relever les défis d’une tonne deux cent kilogrammes de coton-graines et cinq cents kilos de fibre à l’hectare et atteindre 43 % de rendement à l’égrenage et 90 % de qualité de tête (Siga, Sigal). Il s’agit aussi de dépasser les 45.000 tonnes de coton graines.
Pour la campagne précédente, la superficie emblavée a été de 31.500 ha contre 22.265,50 ha en 2000/2001, soit un taux d’accroissement de 41 %. La production collectée s’élève à 35.736 tonnes, correspondant à un rendement de 1.134 kg à l’hectare. En 2000/2001, la production et le rendement étaient respectivement de 2040 tonnes et 916 kg/ha.
Les difficultés, selon Moussa Sabaly, le président de la Fédération nationale des producteurs de coton, en cette veille de campagne après les premières pluies de 6 mm à Tamba et 11 mm à Kolda, vont tourner autour du matériel agricole. Pour lui, à l’heure actuelle, le matériel agricole n’est pas sur place. Et pour relancer la production cotonnière, il est nécessaire que les cotonculteurs reçoivent leur matériel très tôt. La FNPC a déjà versé, soutient-il, un acompte au niveau du CNCAS (Caisse nationale de crédit agricole du Sénégal) après avoir fait le recensement au niveau des groupements de production de coton et les unions de section ont déjà versé leur acompte.
Pour lui, c’est la CNCAS qui achète le matériel et qui le rétrocède à crédit à moyen terme. Le retard pour lui, est consécutif à la commande du gouvernement à travers le ministère de l’Agriculture à la SISMAR. Il s’agit, indique M. Sabaly, de rencontrer le ministre de l’Agriculture pour que la zone du coton qui reçoit la pluie la première, soit servie, car, selon ce dernier, l’Etat verse pour les autres agriculteurs alors que la FNPC verse elle-même ses acomptes.
PAPE DEMBA SIDIBE (Le Soleil)

Trouver une goutte d’eau potable est devenue un casse-tête pour les habitants de la nouvelle capitale régionale de Matam. Les délestages et autres baisses de tension de la SENELEC sont à l’origine de cette situation. Depuis deux longues journées, le centre de captage qui assure le pompage de l’eau du forage qui alimente la ville n’est plus fonctionnel. Selon des sources techniques proches de la SDE, le mal serait dû aux coupures intempestives d’électricité ayant occasionné des dommages sur le transformateur. Du fait aussi de la baisse de tension de la ligne Nord, le forage n’arrive plus à satisfaire la forte demande des populations en liquide précieux.
Ainsi, dans cette situation, les habitants de la ville vivent dans une insécurité permanente. Depuis hier, c’est l’eau de fleuve qui est utilisé dans pratiquement toutes les familles avec tous les risques de maladies que cela fait planer. Pour s’en convaincre, il suffit de faire un tour dès les premières heures de la matinée au bord du fleuve. Sans mesure d’hygiène aucune, cette eau est utilisée pour la boisson. Et le jeune Amadou Dia de tirer la sonnette d’alarme : “ Nous avons vraiment peur de boire cette eau. Mais on n’a pas le choix. Il est sûr que l’eau n’est pas potable, c’est pourquoi on commence à noter des cas de diarrhée ”.
Pour l’heure, seuls les fonctionnaires disposant de véhicules de service assurent le trajet sur Ourossogui à la recherche de l’eau. Au niveau de la SENELEC principale responsable d’une telle situation, on soutient que cela est dû à la panne d’un groupe au niveau de la centrale électrique de Ourossogui. Ce qui les oblige à alimenter la capitale à partir de la ligne Nord. Pour l’heure, il faut dire que les Matamois devront prendre leur mal en patience en attendant l’envoi d’un autre transformateur électrique au niveau du centre de captage.
ALY BANDEL NIANG

Semaine nationale de l’école de base : Contribuer à la paix en Casamance

L'Ecole sénégalaise veut se positionner de manière positive sur la situation qui prévaut actuellement en Casamance. La sixième édition de la Semaine nationale de l'école de base, prévue cette année du 21 au 26 mai à Ziguinchor, est partie pour être celle qui verra les acteurs de l'Ecole, les enfants en particuliers, peser de tout leur poids dans le processus de paix enclenché. La méthode est toute trouvée et consistera “à faire de tous les écoliers du Sénégal les militants actifs de la paix”, explique Mouhamadou Aly Sall, directeur de l'Enseignement élémentaire au ministère de l'Education. C'était hier au cours du point de presse de lancement de la semaine. M. Sall est d'avis que l'institution scolaire pourrait, à travers l'organisation d'une telle semaine dont le thème est “Education, paix et développement”, apporter un soutien significatif à la dynamique de paix enclenchée dans la partie Sud du pays qui abritera la cérémonie d'ouverture.
Mais, c’est l'ensemble des circonscriptions scolaires du pays qui sont concernées par la semaine de l'école de base. Il a été demandé aux autorités de développer, dans toutes les écoles, des projets pédagogiques sur le thème de la paix en Casamance. C'est, souligne Mouhamadou Aly Sall, une manière de donner l'occasion à tous les écoliers du pays “de conclure ces projets par des lettres collectives d'école ou de classe pour soutenir et encourager les parties en conflit à poursuivre leurs efforts en direction d'une paix véritable”. Ces lettres sont “l'expression de la volonté des enfants d'appuyer le processus de paix”. Elles seront remises, le 21 mai, au gouverneur de Ziguinchor et à l'abbé Augustin Diamacoune Senghor.
Le jour du lancement, les élèves et les encadreurs ont prévu une marche pour la paix. Le vernissage d'une exposition, la remise de diplômes à des acteurs de l'éducation, et d'autres manifestations sont aussi prévues. C'est le cas du lancement de la campagne de mobilisation sociale de proximité pour un recrutement massif des enfants au cours d'initiation. Cette cérémonie d'ouverture sera présidée par le ministre de l'Education. Mais “elle n'est pas suspensive des cours.
M. Sall est, par ailleurs, revenu sur ce que certains appellent “le paradoxe de Ziguinchor”. Malgré la situation qui y prévaut, cette région demeure toujours l'une des plus scolarisées du pays avec un taux brut de scolarisation supérieur à 95%, en constante progression. “Tous les enfants déplacés de Ziguinchor ont été enrôlés dans le système. Nous voulons que l'école soit identifiée comme une zone franche par les parties”, note M. Sall. Dans tous les cas, l'option en direction de la paix en Casamance est faite, et le directeur de l'Enseignement élémentaire et son staff pensent que les enfants qui sont actuellement dans l'élémentaire représentent 10% de la population sénégalaise. Ainsi, est-il intéressant de les entendre s'exprimer positivement pour une paix durable.
Le système éducatif peut positivement progresser et atteindre des bonds significatifs s'il est accompagné par une paix durable. Actuellement, seuls trois enfants sur quatre vont à l'école au Sénégal (un taux de 69.3%). Sa conviction est que, lorsqu’un pays atteint la barre des 70% de taux de scolarisation, il faut impérativement “aller chercher les enfants qui restent et qui sont en marge du système”.
Cela passerait par le développement d'un certain nombre de stratégies qui consisteraient globalement à adapter l'offre à la demande. Les stratégies classiques ne peuvent pas fonctionner partout, “d'où une approche plus positive dans le traitement de la demande d'éducation”, ajoute-t-il, précisant que déjà, l'autorité politique nous dit d'intégrer les valeurs du milieu. Ce qui pourrait contribuer à vaincre les résistances.
SADIBOU MARONE (Le Soleil)

Il est 19 heures en ce mercredi 15 mai 2002. C’est l’effervescence à la Place Faidherbe où se tiennent les concerts de la 10ème édition du Festival de Jazz de Saint-Louis. Le nombreux public n’a malheureusement pas eu droit à la traditionnelle cérémonie d’ouverture officielle. C’est sans doute une première depuis que ce festival est inscrit dans le calendrier culturel de l’ancienne capitale du Sénégal.
En fait, jusqu’au dernier moment, ouvriers et autres exposants s’affairaient encore autour des installations de la Foire artisanale. Un retard qu’Ousmane Diallo, Secrétaire général de Saint-Louis Jazz, met sur le compte des nombreuses manifestations qui ont récemment eu lieu sur cette même place Faidherbe, notamment le spectacle “ Sons et Lumières ”, initié par le ministère de la Culture, et une kermesse organisée par des enseignantes. “Mais pratiquement, tout est fin prêt”, souligne-t-il.
“ Cet endroit a vécu de grands moments du festival ”, remarque Anne Jean Bart, une consœur habituée de ce grand rendez-vous culturel. Cependant, elle se demande si l’édition 2002 sera pareille aux précédentes. Des innovations majeures ont été apportées cette année, selon M. Diallo qui indique qu’il y a eu un plus grand rapprochement dans la programmation. Autre “ originalité ”, les prestations de Youssou Ndour et de Doudou Ndiaye Coumba Rose qui, lui, va jouer avec les Belges d’Aka Moon.
Mercredi soir, les premières notes ont commencé à s’égrener avec le Saint-Louis Jazz Orchestra, aux environs de 21 heures, devant une foule nombreuse. Cet orchestre, créé en 2001, est le premier groupe eurafricain de jazz qui revient d’ailleurs sur la scène après une tournée en France et au Kazakhstan. Briseur de frontières, son ambition est de perpétuer les rencontres et le métissage. Juste après, le “ roi du mbalakh ”, Youssou Ndour, a pris d’assaut la Place Faidherbe pour... s’essayer au jazz.
MOHAMADOU SAGNE (Le Soleil)

INFANTICIDE A LINGUERE : Une fille de 16 ans accouche et ensevelit son bébé

(Correspondance) - Depuis deux jours, la ville de Linguère est en émoi, à cause d’un infanticide découvert à Dialou rail, un quartier périphérique de la ville. Les faits sont survenus lundi dernier, quand une jeune fille, A. D. 16 ans, se présenta à la maternité de Linguère pour une consultation. Elle avait signalé à la matrone des saignements dont l’origine était des règles douloureuses. Vu l’état de la patiente, la matrone soupçonneuse, l’envoie à la sage-femme. Celle-ci, après avoir examiné la fille, lui fait remarquer qu’elle a accouché. Cet avis se heurte aux dénégations de la patiente qui se réfugie toujours derrière l’argument des «règles douloureuses». En professionnelle expérimentée, la sage-femme attire la «malade» sur un autre terrain : du lait se dégageait de ses seins. Nouvelles dénégations. C’est alors que le médecin-chef est appelé en renfort et avertit à son tour les gendarmes.
Durant toute la journée du mardi 21 mai, les gendarmes ont mené l’enquête, interrogeant la fille et plus d’une dizaine de personnes résidant du quartier Dialou Rail. Et la fille nie toujours avoir accouché. En dépit de l’interrogatoire subi par sa mère.
Les gendarmes décident alors de faire une fouille minutieuse de la maison familiale. Mercredi 22 mai, vers 15 h, les pandores ont systématiquement fouillé toutes les parcelles de terre qui se trouvaient dans la maison. La recherche sera payante, car elle aboutira à la découverte d’un bébé de sexe féminin enseveli entre l’une des chambres et le mur de la clôture. Devant cette évidence, la fille avoue son crime sans donner de mobile. A. D. a été déférée à Louga.
Momar T. BEYE (Walfadijiri)

Bonjour à tous et merci de votre fidélité. Vous l'attendiez tous, c'est la nouvelle mouture de Senegalaisement 2002 rebaptisé pour l'occasion "00221 Senegalaisement". Pour répondre à la question que l'on m'a déjà posée plusieurs fois,00221 c'est bien-sûr l'indicatif téléphonique du Sénégal que les vieux habitués doivent composer pour téléphoner au pays ! Tout d'abord, excusez-moi de cette longue période sans bulletin dû pour une part à une panne que tout le monde a pu remarquer, d'autre part à mise à jour complète du site (l'ensemble des pages a été mis à jour, illustré de nouvelles photos et d'informations toutes fraîches, etc...) et pour finir à un voyage d'un mois destiné à vous offrir toujours plus de photos, d'info et services. Pour ceux qui n'arrivent pas à accéder à leur e-mail Planete-Senegal.com ou ceux qui veulent en créer un, une page spéciale vous est dédiée (cliquez sur "e-mail" dans le menu du haut de la page d'accueil du site). Désormais l'interface est en Français (mais disponible dans d'autres langues), sans pub et simple d'accès. De plus, vous pourrez au choix lire vos mails sur internet ou les rapatrier sur Outlook Express !!!

Autre nouveauté, ceux qui avaient apprécié les cartes postales virtuelles de Planete-Senegal.com pourront se réjouir, car elle sont à nouveau disponible. Vous pouvez dès aujourd'hui poster des cartes postales virtuelles de Joal-Fadiouth, Palmarin et Ziguinchor ! D'ici une semaine, les villes de Dakar, Saint-Louis et Kaolack seront ajoutées ! Bien d'autres suivront. Comme d'habitude, si vous avez de belles photos du Sénégal, envoyez-les moi afin qu'elles figurent dans le catalogue de cartes postales virtuelles !!!

ENVOYEZ DES SMS sur les portables Alizé-Diamono du Sénégal !Si c'est possible (uniquement sur les mobiles du réseau de la Sonatel). Rendez-vous sur la page d'accueil du site Planete-Senegal.com et cliquez sur le carré vert clignotant "ENVOYEZ UN SMS". C'est gratuit et ça marche !

Ceux qui aiment Planete-Senegal.com pourront désormais le faire savoir dans le livre d'or du site ! Si comme le jeune de Louga qui se plaint de l'absence de sa ville sur le site quelquechose vous déplaît, n'hésitez pas à le faire savoir aussi ! Le livre d'or est accessible sur le menu du haut de la page d'accueil du site.

La pétition contre le consulat de France est toujours d'actualité et chaque jour des internautes la signent. Si ce n'est pas encore fait, lisez vite les témoignages des victimes en cliquant sur le lien "PETITION CONTRE LE CONSULAT DE FRANCE" dispo sur la page d'accueil. En outre certains noms ont pu être effacés à cause de la panne du début d'année. Une bonne occasion donc pour récidiver !

Ce bulletin étant celui des "retrouvailles", vous excuserez sa qualité "à la va vite". Le prochain, avec votre aide et votre participation, sera de la qualité habituelle qui fait de lui avec ses 35 000 lecteurs, la newsletter Sénégal la plus lue au monde. Merci et à bientôt !

Un autre document disponible sur Planete-Senegal.com en réponse aux nombreuses demandes (et après ça on va dire que je ne vous écoute pas....) : Le dossier complet de demande visa pour la France pour les citoyens Sénégalais (prix, formulaire officiel, pièces demandées, conseils etc...) : TELECHARGER au format ZIP

A bientôt sur planete-senegal.com et n'hésitez pas à participer à ce bulletin ou à m'envoyer des petits mails sympa
Pour ceux qui voudrait m'aider : TOUTES LES BONNES VOLONTES SONT LES BIENVENUES car c'est un travail énorme. En période de pointe je reçoit près de 100 mails du monde entier dans la journée rien que pour Planete-Senegal.com !
Appel à photo (ter)! Je manque beaucoup de photos sur le Sénégal, la Gambie et la Guinée-Bissau. Je suis un piètre photographe mais surtout je ne prends plus de photos dans ces trois pays depuis que j'y suis chez moi. Tous ceux qui aurait la gentillesse de m'envoyer leur photos (y'a pas de mauvaises photos ou de mauvais sujets !) sur ces trois pays (je suis en train de faire guinee-bissau.net et gambiennement.com, non non je ne blague pas !) peuvent me les envoyer (au format jpg, maximum 150Ko la photo). Leur nom sera évidemment marqué sur la photo. Un bon moyen de partager vos expérience ! Merci d'avance. Christian

Le Forum vient à peine de se réouvrir, venez donc vite l'alimenter ! De nouvelles rubriques vont être ouvertes dans les jours qui suivent. N'oubliez en outre pas qu'à partir du forum Senegalaisement, vous pouvez à la fois consulter les messages du forum Seneweb et ceux du Soleil

Foncez donc vite sur le Forum pour ré-alimenter la page et répondre à ces messages.
Les meilleurs messages paraissent dans cette lettre d'info envoyée à plus de 5000 internautes!
www.planete-senegal.com/forum/

Venez découvrir la météo
de nouvelles villes (Cap Skirring, Dakar, Diourbel, Kaolack, Kédougou,
Kolda, Linguere, Matam, Podor, St-Louis, Tambacounda, Ziguinchor )
Aujourd'hui Kédougou

Mis à jour: 11h00 GMT le 25 mai 2002 observé à Kédougou, Sénégal
Les températures	34° C
Index de chaleur	36° C
Humidité	90%
Point de saturation	31° C
Vent	6.4 km/h
Pression	1009 hPa
Conditions météo	Généralement nuageux
Visibilité	8 Kilomètres
UV	0
Température minimum d'hier	35° C

Visitez également la météo en direct complète des plus grandes villes du Sénégal sur
la page météo de www.planete-senegal.com

Festivals, évènements, maisons à louer, hébergement en famille, promotion, organisation de voyages, etc... cette rubrique est faîte par vous-même en fonction des mails que vous m'envoyez ! Pour le prochain bulletin, envoyez-moi vos infos avant vendredi prochain afin qu'elles figurent ici !

Cette rubrique vous est consacrée. Si vous avez un message à passer n'hésitez pas à me le communiquer (qu'il soit de nature personnelle, commerciale, associative etc...)

Créé par Maître Bernard DIENE et ouvert en fin 1998,
le Dojo Atlantic Nord ( DANPA ) est situé sur la corniche,
en face de l'unité 15 des Parcelles Assainies.
Il jouxte la plage comprise entre le quartier Diamalaye et le village de Cambérène.

Ceinture noire, 4ème DAN depuis 1996, Maître Diène a commencé l'enseignement du karaté au Do-Rama où il fût le lieutenant de Maître Bada-Hanne, entraineur du Dojo. Ils ont eu à former plusieurs ceintures noires dont Mamadou Aly N'Diaye, champion du monde à Munich en 2000.
Maître Diène enseigne le karaté-do, style shotokan, au DANPA et à la base militaire française de Ouakam (DA 160) où ses premiers cours remontent à 1985 .
Depuis, plusieurs familles de militaires durant leur séjour au Sénégal, ont eu à lui confier leurs enfants pour leur faire bénéficier de ses cours.

Visitez également la page "Associations" de www.planete-senegal.com
Si vous-même dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le Sénégal, n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail !

Si vous avez fait un site parlant du Sénégal, et voulez le voir paraître dans cette rubrique, n'hésitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'êtes pas un webmaster chevronné (!) et voulez voir votre expérience publiée sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail vos textes et photos qui seront transformés en page web sur le serveur planete-senegal.com.