Nioro du Rip
Nioro
du Rip est à la fois un poste frontière très important
(c'est le passage le plus emprunté pour aller en Casamance),
un centre agricole productif (une grande partie de la
culture arachidière est concentrée dans cette région,
et l'Institut Sénégalais de Recherche Agricole y a une
antenne) et un lieu historique pour le Sénégal et le
peuple sérère grâce aux très fameux alignements
de mégalithes qu'il y a dans son département et
qui n'ont d'égal en Afrique que ceux de la République
centrafricaine. La bourgade vit néanmoins sur un rythme
rural dans une des plus belles régions du Sénégal.
Photo : la gare routière de Nioro en
plein centre du village.
Nioro du Rip doit son nom au royaume, le Rip, dont elle était jadis la capitale et à la ville malienne du même nom. Ce nom est finalement récent puisque c'est seulement en 1861 que Maba Diakhou Ba, après avoir conquis la ville, la renomma ainsi en hommage à la Nioro malienne que son allié militaire El Hadji Omar Tall venait de conquérir.
Nioro du Rip est aujourd'hui une localité d'importance régionale à la croisée des cultures, des langues et des routes. La frontière gambienne n'est qu'à une trentaine de kilomètres alors que la grande ville sénégalaise la plus proche, Kaolack, est à 60km. Cette position centrale dans le pays fait que si les Sérères y sont historiquement majoritaires, les communautés de Casamance (Diolas,Manjak, etc..), les Mandingues (majoritaires en Gambie), les Wolofs et les Peulhs y sont également présents en nombre.
Malgré l'exode rural la population de Nioro du Rip connait une croissance permanente. Environ 20.000 habitants y résident aujourd'hui. Ce dynamisme est en partie du à la culture de l'arachide dont l'espace rural alentour est un centre important de production. Le statut de préfecture du département du même nom attire également un certain nombre de fonctionnaires et permet aux jeunes d'avoir accès à l'enseignement secondaire (collège, lycée) sans devoir partir jusqu'à Dakar ou Kaolack.
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Campement Dabali
 (+221 339 44 32 45     |
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a laissé le commentaire suivant le 06/02/14 :slt pour la disparition du campement de dabaly je condamne tous les habitants nous sommes responsables et au ce campement devrai contribue au developpement de notre village mais il...[LIRE LA SUITE]
ISSA AW
a laissé le commentaire suivant le 06/02/14 :slt pour la disparition du campement de dabaly je condamne tous les habitants nous sommes responsables et au ce campement devrai contribue au developpement de notre village mais il...[LIRE LA SUITE]
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nioro je t adoooooooooooooooooooore.from nioro et fiere de l etre.dieri coly,setou elhadj adama ba
ben c fait 5ans que je n'est pa pu voir cet bo commun de noiro c là ou suis nèe et j'aimerai participer au dèvolloppement de cet commun.
nioro ma ville natale je t'adore
pour moi le probleme fondamental de la ville de nioro , c est qu il y a pleins d ignorants qui se donnent trop d importance ,la mechancete ,la jalousie et la rancune constituent le socle de sa mesaventure ... jadis , nioro la belle , la prospere , a vrai dire je reconnais plus cette ville qui a berce mon enfance ou j ai passe ma jeunesse , une ville quasi morte , ou politiciens je devrais dire vautours et hyenes se chaimaillent le controle , elle prise en otage ,entre les mains de satan , nioro va mal et je vois pas de messie pouvant la sauver , si ce n est que de prier pour son ame ... mon oncle feu amadou ba avait de bonnes intentions , mais la aussi les sorciers" ont fait leurs sales tours ...
Aliou,tu prends une dateet je t'invite la bas.T d'accord?
je ne suis pas de nioro mais j adore d y aller la bas pour visiter
Nioro je me rappelle! Oh Ville qui doit se renouveler..
Lamine Ba, tu as toujours été un grand geulard, cela nŽavancera Nioro en rien, ce sont par les actes dignes que nous arriverions á changer la situation, mais jamais avec ces discours longs, nostalgiques et avides de propositions dŽactions concrétes. Reflechissez-en. On te connait bien, tu nŽas aucun moral pour dire quoi que ce soit. Restes la oú tu es et continue de commettre tes bétises á Paris tu verras bien sou peu.
on doit etre fier de notre ville et faire en sorte pour qu'elle se developpe.
nous devons ouvrir nos yeux et savoir que nous sommes les messis de nioro; alor sauvons la
niorovos fils son pret pourton developpement fulgurante. ayons le courage et la conviction de ce fameux developpement et le reste dieu le fera inchala.
Oh!rip,rip des lumières,je me sens si fier de penser à tes valeurs chères:le tata,Maba Diakhou, prokhane,taiba niassene,darou salam,kaba coto et tant d'autres.si à chacun son temps,je dirais que notre temps est venu et NIORO va s'élever jusqu'au ciel pour montrer sa grandeurspirituelle à tous les initiés.L'aube s'est installé faisant de la nuit rien qu'un passé ennuyant.....lumière sur lumière.....
Ma grand mére anthia n'dao et de nioro et je suis ici en france mé je terminerai ma vie au sénégal
nioro ma ville nioro que j'aime beaucoup.nioro qui est pres du vilage marabout BAYE NIASS nioro quidoit avancer sur tous les plans.mais maleureusement, mous avons des dirigeants incompétants.mais j'espere que avec les jeunes d'aujourdhui ca va changer.on va tous se bobiliser pour lutter contre les profitards de notre ville.bigpeace a tous les niorowas surtout wa buvette bi face terrain basket bi ok next
j love you noro
Pour Nioro,10?/mois...Regroupons nous, organisons-nous...celles et ceux qui se sentent concernés il est l'heure!!! Ce que je propose: Le pouvoir de se prendre en charge, la volonté de progresser, l'humilité dans la noblesse du coeur et de la raison!! Ba poulo diery wack ma sa Somb N'diogou Mapaté!!!!
Mon département a toujours été oublié par les différents gouvernements du sénégal. Avec le gouvernement de Wade, nous sommes morts. Nous sommes de cultivateurs retraités car oubliés par Wade et je ne sais pas si c'est par ignorance de nos maux ou par incompétence de réaliser une bonne politiques agricole. Ne parlons même pas d'infrastructures parce que nous n'en avons pas. Il y'a une insuffisance dinfrastructures scolaires et sanitaires. Il n'ya que des volontaires dans nos écoles et des membres de la croix rouge dans le district de santé. Comment on peut expliquer l'absence de poste de santé à Keur Ayip avec le beau monde qui s'y rencontre chaque jour? A quoi nous servent nos politiciens? Ils se mettent à timpaniser les gens alors qu'une fois à Dakar ils se mettent à dormir et à remplir leurs poches. Vous avez intérêt à changer de comportement car nous sommes en route et nous allons vous écarter de la chaîne politique afin de déléguer des jeunes responsables. Ibrahima Niang(keur ayib)
Les nominations de Baîdy Ndiaye puis de Ahmadou Matar BA suivis des mégas meetings de Keur Madiabel et de Wack gnouna - passant par l?interview de la Première dame du pays à travers la chaîne télé sud ? sont autant de signes qui resituent le département de Nioro du Rip à la croisée des ambitions politiques en ces heures crépusculaires. En entendant le Président Wade prétendre n?avoir jamais gagné Nioro qui fut pourtant un des premiers berceaux du parti démocratique sénégalais - et Moustapha Niasse revendiquer le lien ombilical avec son département ? de surcroît son fief ? la partie semble loin d?être gagnée dans un ancien territoire d?un parti socialiste dépossédé mais convoité et conquérant. Certes vrai qu?à part le vote sanction conditionné à l?époque par le blâme de feu Mamour Ousmane Ba - suite à la crise interne du PS - et qui avait permis l?élection du député libéral Niack Dieng ? le Pds n?a jamais connu de gloire dans un département aujourd?hui tombé aux mains des progressistes (maire et député AFP) ? et où l?électorat en majorité jeune et féminin se désolent de ne rien trouver à travers des discours jusqu?ici stériles. Cependant ces ambitions proclamées de part et d?autre ? ont-elles pris en considération les besoins et les inquiétudes légitimes des populations perdues dans l?immensité du désarroi ? et devant lesquels une minorité de femmes battantes (à savoir nos mamans) rehaussent la garde ? aux moyens d?un investissement dans des projets de développement salutaires et encourageants ? Ces ambitions politiquement justifiables n?ouvrent elles pas la voie à ce climat délétère de violence inutile et inconséquente déjà vécue - et d?ailleurs au prix totalement payé - dont font montre actuellement certains jeunes du PDS à Nioro qui aujourd?hui - faute de perspectives et de projet d?avenir - s?adonnent à des confrontations directes - gangrenant ainsi la haine et le mépris à des fins souvent dissimulées ? pour créer des situations indignes de Nioro - où sabres et couteaux font la loi dans une impunité sans nom et le plus souvent de la manière la plus mesquine. Ce qui n?est pas d?ailleurs nouveau à Nioro dont le passé renaquit parfois avec son cortège d?émotions et de douleurs pour se fondre dans le regret ou le remord - dans la conscience ou la déperdition - dans la satisfaction ou l?insatisfaction ? pour en tout cas imposer un regard sur le rétroviseur - regard avec de l?audace - mais aussi avec une grande et réelle hauteur d?esprit favorisant l?émergence de la conscience citoyenne ? devant permettre enfin l?amélioration des conditions de vie et le maintien d?un espoir tari dans une ville aux abords du pire. Ne sommes nous pas capables de nous remettre en cause - de nous affranchir de nos naïvetés et de nos limites ? de nous démarquer de ces vérités supposées ou fabriquées - surtout du regard et de l?opinion des autres - nous assumer avec nos compétences et nos qualités - tout en acceptant celles des autres ? Accepterions nous de transcender nos hypocrisies internes pour reconnaître à autrui son mérite et son ère de gloire ? Qu?avons-nous acquis de ce Nioro des grandes tendances socialistes ? Ce Nioro qui porta feu Mamour Ousmane BA - feu Niogou Wack BA - Feu Mamadou Wade - feu Amadou BA- et pour qui nous formulons les meilleures prières au nom de leur dévouement sans faille pour Nioro ? Qu?avons nous aussi hérité de ce Nioro qui fut le théâtre des plus rudes luttes de clans partisans opposant une génération d?hommes de qualité comme ce fut le cas avec l?ex maire Souleymane Bitéye- Sambou Touré - Mamadou Abass BA, Sergine Mbaye Thiam etc. - pour ne citer que ceux là dont l??uvre avait été possible grâce à la confiance et la détermination de responsables comme Oumar Ba - Souleymane Ba - Kéba Diop - feu Malick Faye - Samba Camara - Aly Guéye -feu Mor Touré - Fatou Guéye Ba -Birane Tambédou - Mamour Dieng Bassirou Sarr - Ndeye et Khady Sané - Cheikh Wilane? Comment sommes nous sortis indemnes et avons nous mûri de ce Nioro aussi de résistance parfois dans la concorde mais toujours dans la dignité comme ce fut le cas avec Ndiack Dieng pendant toute son opposition au PS toujours vainqueur ? mais aussi de ce Nioro de confrontation ouverte comme l?avait si bien menée Matalla Fall de la LDMPT devant qui - certains adversaires brandissaient la thèse de la « non appartenance à Nioro ». Ainsi oubliant que de braves guerriers comme Goumba Guéye - Ndary Kany Touré - Lat. Dior et d?autres venus d?ailleurs ont - dans la loyauté et le respect - combattu à coté de notre cher grand père Maba Diakhou BA pour faire du Rip un emblème, un symbole une histoire dans un Sénégal, que nous jeunes générations avons la charge de parachever. Cette histoire vraie et passionnante ne mérite t elle pas d?être fouillée au plus profond d?elle-même ? d?être restituée d?autant plus qu?elle porte un intérêt particulier et traduit un besoin réel ? Cette histoire commune à nous - cet héritage porté et défendu par des références dans l?art républicain comme les colonels feu Tamsir Raky BA - Doudou BA - Souleymane BA - Waly Faye - feu Djim Talla Wade - les colonels Top et Diop - des commandants comme feu Elimane Mandiaye BA ou feu Samba Kodia BA etc.- ne nous oblige t-elle pas à nous retrouver enfin ? À nous parler ? À nous connaître voire nous aimer pour de bon ? - même parfois avec des opinions divergentes - mais dans le respect des uns et des autres - et au nom de ce que chacun peut apporter à ce Nioro que nous partageons et devons construire (ce que d?ailleurs personne ne pourra faire à notre place). Où sont passés la vertu et les enseignements de notre vénéré grand père Mamour Ndary BA qui ? aussitôt après la résistance armée ? va faire de l?instruction et du travail un sacerdoce auquel il voua sa vie ? et au regard duquel nous nous demandons qu?est ce qui n?est pas permis d?espérer de ce Nioro qui a la chance d?être traversé par la transgambienne et ceinturé par le Baobolong pour finir comme plaque tournante de localités comme Prokhane, Darou Salam, Touba Saloum, Taïba Niassene, Kaaba koto, Paos Koto, Ndramé etc.? ? De cette richesse insoupçonnée et jamais explorée, n?y a t il pas des débuts de solutions à court, moyen ou long terme à ce marasme économique qui - au-delà des quelques rescapés engloutis dans l?enseignement, affecte une population majoritairement jeune et souvent condamnés à l?exil sans retour certain ? abandonnant ainsi une minorité du 3è âge s?accrocher aux aléas de la saison des pluies auxquels s?est assujetti le pain du jour de familles quasiment désespérées ? Devons nous baisser les bras devant notre responsabilité face à ce destin menacé ? - Ce serait terrible « que le final d?une corrida espagnole où le terero en habit de lumière, s?affaisse sans avoir vaincu le terreau ». Devons nous demeurés insensibles aux fléaux qui obstruent nos espérances et durcissent notre quotidien comme ces maladies du genre sida récemment invité et rapidement propagé dans le département - Aggravée par la proximité avec la Gambie et très souvent soumise à la règle du tabou social - avec d?autres maladies manifestement visibles et causant pires dégâts comme le témoigne le nombre d? «emportés» annuel du paludisme, du cholera, des accouchements etc.?- pourront elles s?enrouler en attendant dans un labyrinthe d?espoir suscité par l?avènement d?un nouveau hôpital - et au regard duquel nous suggérerions une gestion innovatrice de qualité - impliquant le concours et la vigilance de tous. N?est il pas le moment de nous débarrasser de cette fausse fierté dissimulée la plupart du temps dans cet espèce d?orgueil qui nous dépossède et nous vide de notre devoir ? nous éloignant petit à petit de cette « maison de père souvent abandonnée » au profit de celle de Dakar ou d?ailleurs - pour ainsi nous déshonorer comme il est question de l?état du lycée Maba Diakhou BA qui ? en dépit de moyens et d?infrastructures convenables compensés par l?abnégation d?un personnel plus que dévoué - cherche un maintien dans un environnement non seulement trop exigu mais aussi inadapté? N?a ton pas les moyens de penser aussi à la revalorisation de cites tels que le lycée Maba Diakhou, le Tata, les champs de bataille de Paos qui rappellent aussi la victoire des troupes de Hama BA sur celles du capitaine Canard en 1867 - et de tout autre monument ou symbole historique dans le département de Nioro - Quoique nous consentions de réels efforts certes salutaires pour la rénovation de notre grande mosquée jusqu?ici menacée par des ravins dont la prise en charge dépasse largement les capacités municipales. Effectivement aillons le courage de parler de ces « ravins serpents » qui paralysent toute une ville après l?avoir défigurée ? condamnant des familles entières à quitter leurs habitations sans moindre assistance ou aide publiques à part quelques consolations par ci par là de voisins éperdument impuissants. Victime de sa situation géographique ce Nioro abandonné, jeté puis oublié ne regorge t il pas assez de fils, de sympathisants, de fans ou d?habitants - capables de se retrouver aux heures sèches sous l?arbre à palabre ? d?avoir le courage de se dire cette vérité dans le respect et la tolérance - avec la conviction que tout ce qui se décide pour nous sans nous est contre nous ? afin de trouver les solutions à nos maux dont nous ne saurions exprimer par ces mots. Conscients qu?une ville vaut très souvent ce que valent ses fils ? convaincus aussi du désir de poser un débat ? en lui donnant un ton et une vérité qui boostent ce destin collectif et mobilisateur ? marquons un changement de cap déterminé et déterminant ? dans la perspective d?une construction saine et durable de notre très cher Nioro à la place de cette logique de bouteille à moitié pleine ou à moitié vide ? donnant malheureusement avec ces quelques gouttes qui s?en ont échappées une autre contenance. Mamadou Lamine BA étudiant à Paris, Chargé des relations extérieures d?IACD
Bonjour, Je suis étudiant resortissant du département de Nioro et je cherche un ou des correspondants habitant dans cette localité pour pouvoir échanger des idées. Toute personne qui serait intéressé peut se manifester sur cet espace ou m'envoyer directement un mail à l'adresse ci-dessus.
C'est par hasard que j'ai découvert cet espace. Etant un natif de département de Nioro mamour ndary et plus précisement dans la localité de vélingara ndémène, je ne peux pas refermer la page sans y jeter mon grain de sel. culturellement et économiquement, Nioro est l'un des département les plus riches du Sénégal. J'adore y passer mes vacances.
nioro du rip comme ripville qui ma vu naitre je t'aime nioro, nioro Assane sene.Nioro Dado Diawara
Quand on est à nioro ,on profite de tous les instants , aussi bien en famille qu'entre camarades. Je me rappelle de mes dernieres vacances,j'etais frappé par une hospitalité sans pareille dont ont faite preuve les jeunes de cette ville. Ils sont tres dynamiques, et la richesse sociale qu'il y a m'a encouragé à y poursuivre mes etudes ; croyez-moi aucun regret, je continuerai d'y vivre Merci à tous les niorois
je me rappelleetre aller a nioro etant jeune et je garde de magnifiqye souvenirs. je suis le petit fils de mamour ousmane Ba et le fils de Matar Ba et j'en suis tres fier
nioro est une ville tres reposante et j adore y passe mes vacances avec ma famille qui vit là-bas
Pour moi nioro est une ville culte ou je passais mes vacances auprés de ma grand-mére trés adorée qui n'est plus de ce monde. C'est une ville reposante et agréable à vivre, cette ville a vu naitre de grand-hommes politiques (hommage à mon grand pére MAMOUR OUSMANE BA et un grand coucou à mon cheri grand pére SOULEYMANE NIANE).
Pour moi nioro est une ville culte ou je passais mes vacances auprés de ma grand-mére trés adorée qui n'est plus de ce monde. C'est une ville reposante et agréable à vivre, cette a vu naitre de grand-hommes politique (hommage à mon grand pére MAMOUR OUSMANE BA et un grand coucou à mon cheri grand pére SOULEYMANE NIANE).
J'ai beaucoup ta nostalgie Nioro
J'aime bien cette ville qui a vu naitre beaucoup d'intellectuels.