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L'AGRICULTURE

L'agriculture, si elle ne rapporte pas beaucoup au pays, occupe la majorité de la population et la totalité dans les zones rurales (70% des Sénégalais sont cultivateurs ou éleveurs). Ainsi, sur dix millions d'habitants, près de sept sont paysans. Sur onze millions d'habitants plus de cinq habitent en zone rurale. Sur les 200.000km² du pays, plus de 80.000 sont directement et en permanence consacrés à l'activité agricole, et près de 60.000 à l'activité pastorale. Cette agriculture ne permet néanmoins pas de nourrir l'ensemble de la population et le Sénégal importe hélas encore la plus grande partie de son riz : 390.000 tonnes de riz ont été importées l'année dernière. La diversité des cultures n'est pourtant pas à revoir : le riz (150.000 tonnes), le mil (600.000 tonnes), le maïs, le fonio (100.000 tonnes), le coton (50.000 tonnes et en progression constante grâce à la Sodefitex, société nationale d'exploitation des textiles) et l'arachide sont les principales. Mais chaque chacune est synonyme d'une activité et d'un revenu différent.

Voir aussi la page sur les statistiques agricoles détaillées (chiffres et données de la FAO de 1994 à 2003)
Carte IRD (en PDF) sur la géographie des différentes cultures et activités agricoles du Sénégal


LE RIZ

Il y aurait tant de choses à dire sur le riz. Principale source de nourriture, le riz a forgé des civilisations (les Diolas de Casamance par exemple), est devenu en enjeu régional (barrage de Diama dans la région du fleuve pour favoriser l'irrigation), un enjeu économique (balance commerciale du riz déficitaire avec l'importation massive de riz thaïlandais), et un enjeu culturel avec l'abandon injustifié de céréales traditionnelles pourtant produites en masse et aux qualités nutritionnelles incontestées.

Les espaces dédiés à cette production sont relativement stables et se concentrent en Casamance et dans la vallée du fleuve Sénégal.

 

La récolte et le repiquage du riz sont le plus souvent effectués par les femmes alors que le labour des rizières et confié aux hommes.

Photo ci-dessus : récolte du riz à Ziguinchor

En Casamance, les surfaces cultivées sont parfois immenses alors que les exploitations dans la vallée du fleuve sont plus modestes. Ces deux régions ont d'ailleurs un rapport au riz vraiment différent. Les casamançais cultivent des terres qui leur appartiennent et de manière familiale avec des outils et des techniques qui leur viennent des leurs parents depuis des centaines d'années. Le riz n'est d'ailleurs pas commercialisé puisqu'il sert exclusivement aux besoin alimentaires de la famille. Au contraire, au Nord, la culture du riz est relativement récente et se fait sur des terrains souvent prêtés en concession. Ce riz en en partie destiné au commerce.

Photo à gauche : rizières de Dilapao, près de Bignona

Riz des villes, mil des champs en pays Sérère  de Lombard 
L'administration et le paysan en Casamance de Dominique Darbon, Centre d'étude d'Afrique noire
La rizière et la valise - Irrigation, migration et stratégies paysannes dans la vallée du fleuve Sénégal de Philippe Lavigne Delville

LE MIL

Si le mil appartenait à une ethnie, ce serait les Sérères qui en ont fait leur aliment et leur culture de prédilection. Mais si le mil est cultivé sur l'ensemble du territoire, les plus grosses concentrations se trouvent dans les régions de Thiès, de Kaolack et de Fatick. Le mil se présente sous la forme d'une tige et de feuilles semblables au maïs. Un seul épi se trouve néanmoins en haut de cette tige. Les petits grains ronds du mil sont utilisés de mille manières : concassés pour faire du couscous (le thiékhé), des desserts, mais aussi réduits en farine ou utilisés tel quel, c'est vraiment la céréale populaire même si elle est beaucoup moins consommée que le riz. Son prix est d'ailleurs 3 à 4 fois inférieur à celui du riz. Comme les autres céréales, c'est une production saisonnière de la saison des pluies. Les champs sont souvent immenses. Vous en verrez des centaines d'hectares le long des routes entre Rufisque et Joal-Fadiouth.

Photo à droite : bottes d'épis de mil près de Mbour (photo C. Montaillié)

C'est souvent le seul moyen de subsistance pour les populations rurales les plus excentrées. Une mécanisation de cette culture est en marche (on voit déjà quelques tracteurs mutualisés à droite à gauche mais très peu). Cela donnerait à coup sûr un second souffle à cette «céréale des pauvres» un peu délaissée par la population.

Riz des villes, mil des champs en pays Sérère  de Lombard 

LE MAÏS

Cette céréale est encore hélas peu cultivée au Sénégal. C'est dommage car en Casamance et au Sénégal Oriental, les abondantes saisons des pluies pourraient offrir un bon rendement. Le maïs est souvent vendu au bord de la route par des femmes qui vous font griller les épis au feu de bois. Un délice. Cette céréale est néanmoins de plus en plus utilisée sous forme de semoule dans des couscous ou des desserts. Il n'y a que très très peu de grands champs de maïs. Il s'agit le plus souvent d'une petite part du jardin où les femmes vont planter quelques graines pour avoir un revenu supplémentaire et des repas plus diversifiés. Le rendement est pour le moment mauvais du fait de la mauvaise qualité des semis. Les épis sont relativement petits. Mais l'avenir promet un grand essor du maïs avec des races particulièrement adaptées au milieu tropical. C'est dans la région du fleuve, dans le Siné-Saloum et en Casamance que vous verrez le plus de maïs. Mais cette culture s'étend sur l'ensemble du territoire durant la saison des pluies.

La filière maïs au Sénégal 

L'ARACHIDE

L'arachide est en grande partie une chasse gardée des marabouts mourides à qui appartiennent de nombreux champs. Tout au long de l'année, les Baye Fall travaillent gratuitement dans ces champs pour le seul bénéfice des marabouts. Néanmoins les arachides de ces chefs religieux sont pour leur plus grande partie destinées à l'exportation. Produit phare longtemps resté monoculture, l'arachide produite avoisine selon les années et la politique gouvernementale entre 500.000 et 1.000.000 de tonnes ! Elle est aussi transformée sur place pour de nombreuses utilisations : huile, savon, détergeants, chocolat, etc...
Photo : gigantesque montagne d'arachide prête pour la transformation à l'usine SONACOS de Ziguinchor (P. Clément).

Les marabouts de l'arachide : la Confrérie mouride et les paysans du Sénégal de de Jean Copans.  Approche anthropologique de la confrérie mouride qui remet en cause les stéréotypes et les mythes des descriptions disponibles depuis 50 ans.
  L'arachide au Sénégal : un moteur en panne de Claude Freud
  Facteur hydrique en agriculture pluviale au Sénégal : le cas de l'arachide de Mbaye Diop

LA CANNE A SUCRE

C'est une des cultures industrielles les plus récentes. Sa principale zone de production est la région du fleuve. Richard Toll est le fief de la canne à sucre. Néanmoins, l'intégralité de ces cultures est détenue par le groupe industriel Mimran. La polémique autour du monopole accordé au groupe Mimran pour la culture de la canne à sucre défraie régulièrement la chronique avec notamment des accusations d'importation "sous le manteau" de sucre étranger. Les potentialités et l'enjeu économique sont néanmoins énormes et le pays pourrait s'autosuffire aisément. Richard Toll ne doit sa survie économique qu'à la canne à sucre qui a réussi à créer de nombreux emplois dans la région, y compris des emplois très qualifiés au sein des usines de la CSS.

Site internet de la CSS (Compagnie Sucrière Sénégalaise) :

LES FRUITS ET CUEILLETTE SAUVAGE

Les fruits, contrairement à d'autres pays comme le Ghana ou la Côte d'Ivoire ne sont pas une grande source de revenus pour le Sénégal. En effet, il n'exporte presque pas (à part dans les pays limitrophes). Néanmoins sur le marché local, les fruits sont innombrables. Dans le tableau ci-dessous vous pouvez voir le calendrier de récolte des principales cultures fruitières du pays. Nous ne pourrions citer tous les noms des fruits du Sénégal tant ils sont nombreux. Certains fruits sauvages de Casamance ne sont même connus que des Casamançais ! Bananes, ananas, govayes, corossoles, oranges, papayes, mangues, avocats, etc...sont autant de fruits que l'on peut se procurer chacun à une certaine période de l'année sur les marchés du pays.

Photos : ci-dessus à gauche les fruits du baobab, ci-dessous à droite, une mangue sénégalaise vendue dans un supermarché français.

De grands vergers sont entretenus dans l'ensemble du pays. Ils concernent particulièrement les manguiers, les anacardiers (noix de cajou), les bananiers et les orangers. La cueillette de fruits et légumes sauvages est également une activité très pratiquée. Le baobab est le plus populaire des fruits sauvages. Mais le kinkéliba, certains haricots, de nombreuses baies et des fruits tels que le ditax, le tamarin ou le made sont également récoltés dans la nature et génèrent des revenus non négligeables aux populations rurales.

Voir aussi la page flore de Planete-Senegal.com
Voir aussi le dossier "kinkéliba" présentant la plante, ses propriétés et sa récolte

 
Calendrier de production des principaux fruits (source : ISRA)
offre régulière
offre irrégulière
Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre
Banane        
Mangue        
Papaye      
Orange      
Clémentine      
Citron      
Pamplemousse      
Avocat        
Pastèque  
Ananas      

LE MARAÎCHAGE

Le maraîchage fait l'objet depuis quelques années de nombreux micro-projets, le plus souvent lancés par des ONG. Ainsi Dakar est désormais bien alimenté en produits maraîchers. Il en est de même pour de plus en plus de village. Certains fruits et légumes qui n'étaient consommés il y a dix que par les étrangers se sont démocratisés. D'autres reste l'apanage des riches mais sont enfin cultivés dans le pays. Ces fruits et légumes sont variés : salades, fraises, carottes, navets, courgettes, pastèques (en très grande quantité), sésame, épinards, oignons et oseille sont des denrées que tout le monde peut manger.

Photo à droite : groupe de femmes dans un jardin maraîcher près de Kédougou

Dans les zones rurales, ce sont souvent les femmes qui travaillent dans ces petits jardins alimentés en eau par des puits parfois équipés de moto-pompes. Elles s'investissent réellement dans cette activité à côté de travaux plus occasionnels comme la récolte et la transformation de la noix de palme (huile) et de la pulpe de baobab. Le maraîchage est vraiment l'avenir du Sénégal dans le sens où il procure des sources alimentaires continues grâce à l'irrigation et qu'il diversifie enfin les vitamines et nutriments d'une alimentation composée jusqu'ici exclusivement de riz ou de mil.
Le kinkéliba, plante médicinale dont on cueille les feuilles de l'arbuste resté à l'état sauvage et le bissap, boisson dont on cueille les fleurs pour préparer des boissons festives et d'agrément sont aussi des activités agricoles d'appoint et de diversification.
 
Photo à gauche : pied de bissap en pleine floraison.

Voir aussi la page sur l'exploitation agricole du kinkéliba et ses propriétés pharmaceutiques

LE COTON

4 milliards pour relancer la culture du coton (extrait de Sud Quotidien):

Après sa traversée du désert, suite au déficit pluviométrique pour le bouclage du cycle du coton et aux attaques parasitaires avec comme conséquence une baisse considérable des rendements, la filière coton vient de mobiliser 4 milliards pour la relance. Les contraintes climatiques ont eu comme effet un manque de précocité des levées estimées à seulement 32%, à la date du 15 juillet dernier considérée comme période de bouclage des semis.
Ainsi, l'objectif de 17.120 ha n'a pas été atteint, seuls 13.371 ha ont été réalisés. A cela, s'ajoute la baisse des prix du coton sur le marché mondial avec la crise des pays de l'Asie qui consomme environ 80% de la production. Cette année, les ristournes n'ont pas été payées aux producteurs, contrairement aux années précédentes. Pour Michel Kamara, le directeur de la production cotonnière :

«la campagne précédente a été éprouvante pour nous, du fait des calamités enregistrées. Mais cette année, d'importantes mesures sont prises. Environ 4 milliards ont été débloqués pour cette campagne agricole et une stratégie de lutte contre les parasites, en partenariat avec nos voisins du Mali, du Burkina et de la Gambie est mise en place. Le dispositif de l'encadrement de base a été renforcé et l'arrêt des semis est prévu au plus tard le 20 juillet pour tous les producteurs». »Au début, certains producteurs hésitaient à cultiver le coton, mais finalement, avec les rencontres tenues, nous avons pu les convaincre. La commission a enregistré 50.000 personnes intéressée par la culture du coton. En partie, l'implication de la fédération a été pour beaucoup. Je puis affirmer qu'il n'y a aucun nuage entre la Sodefitex et les producteurs». Selon certains producteurs : «malgré ces importantes mesures prises par la Sodefitex, les autorités doivent leur payer les ristournes et les dédommager, car les dégâts enregistrés ont diminué leur revenu, entraînant l'installation prématurée de la période de soudure».

Par ailleurs, un moratoire de dix ans a été accordé aux producteurs pour le remboursement de leurs dettes.
Pour cette campagne, la Sodefitex a fixé un objectif de 50.000 ha, avec un rendement de 900 Kg à une tonne à l'hectare. La mise en place des engrais et produits phytosanitaires a démarré selon les responsables.
Lamine DIEDHIOU

Voir aussi le site de l'Institut Sénégalais de Recherches Agricoles :

L'ÉLEVAGE

Il n'y a pratiquement pas d'élevage industriel au Sénégal. Le seul animal commençant à faire l'objet de ce genre d'élevage est le poulet. Mais ce ne sont que de rares initiatives. Le plus gros élevage avicole de Dakar se trouve à Mbao. Mais celui situé sous le pont de Colobane est relativement important.

Pour comprendre la faiblesse de cette activité, il faut connaître les causes géographiques et sociologiques:
Tout d'abord, tous les animaux ne peuvent pas survivre dans toutes les régions du Sénégal. Certaines races sont plus adaptées à certaines régions. C'est le cas par exemple de trois espèces de bœufs : ceux qui paissent dans le nord du Sénégal au dessus d'une ligne Kaolack-Tambacounda sont les bœufs blancs avec une gigantesque bosse de graisse au-dessus du cou et des grandes cornes. Il s'agit de zébus qui supportent la sécheresse et peuvent se passer d'eau pendant plusieurs jours (race D'jakore). Ils ne supportent en revanche pas les piqûres de certaines mouches que l'on trouve dans le Sud. Dans le département de Kédougou comme en Casamance les bœufs élevés seront de race plus petite, plus trapue avec des petites cornes et de couleur foncée (race N'dama). Ils ressemblent plus à nos vaches européennes. Ils résistent aux différents insectes mais ne pourraient supporter plusieurs jours de privation d'eau. Concernant ces derniers il y peu de grands élevages. Chaque famille peut posséder un ou deux bœufs. Seuls les zébus sont constitués en grands troupeaux. Le nombre total de bovins au Sénégal est estimé à trois millions de tête en 2003.
Voir aussi la page sur les statistiques agricoles détaillées (chiffres et données de la FAO de 1994 à 2003).

 
Les deux espèces de bœufs les plus courantes au Sénégal : le D'jakoré élevé au Nord et le N'dama au Sud

Les causes sociologiques de la faiblesse de l'élevage au Sénégal sont au nombre de trois :

- La première étant la «spécialisation» ethnique. Ce phénomène disparaît peu à peu mais il existe encore : chaque ethnie à une spécialité qu'elle exerce de père en fils. Les Bassaris sont chasseurs, les Diolas cultivateurs, les Manjaks tisserands... Ainsi l'élevage de masse des bœufs est laissé à la quasi-exclusivité des Peulhs ce qui réduit considérablement le nombre potentiel de bêtes.

- La seconde raison tient justement aux Peulhs. A l'instar des Massaïs au Kénya, les bovins ont quelque chose de sacré et tant leur richesse que leur respectabilité tiennent au nombre d'animaux possédés. Ils ne sont donc que très rarement tués (lors des grandes occasions uniquement) et encore moins souvent vendus. Aujourd'hui le résultat est affligeant puisque ces troupeaux sont en partie la cause de la désertification du Nord Sénégal-ferlo et de l'extrême pauvreté des Peulhs ruraux du Nord et de l'Est du pays.

- La dernière raison est que tout simplement la majeure partie des Sénégalais habitent sur la Côte Atlantique et sont traditionnellement un peuple de pêcheurs dans une des eaux les plus poissonneuses du monde. La viande n'est donc mangée qu'occasionnellement car elle est beaucoup plus chère que le poisson. Un thon de 5 kilo est environ trois fois moins cher qu'un poulet ou qu'un morceau de bœuf de 1 kilo !

Le mouton, l'animal le plus noble pour les musulmans est élevé à la fois en troupeaux et «à la maison». En effet de nombreuses familles, même dans le centre de Dakar en achètent un pour l'engraisser durant quelques mois en prévision de la Tabaski ou d'un baptême. Mais vous verrez à l'approche de la Tabaski (l'Aïd El Kébir) le pays entier accueillir des moutons de toute l'Afrique orientale dans des parcs à moutons situés autour de chaque ville et village. En effet, les pasteurs parcourent chaque année à pied des centaines de kilomètres pour vendre leurs moutons là où ils sont les plus chers c'est à dire au Sénégal. Ces pasteurs sont souvent Toucouleurs.

Plusieurs races sont présentes au Sénégal. Elles se ressemblent. Beaucoup d'européens pensent que ce sont des chèvres et en effet, tout le monde a du mal à s'y faire. Tous blancs, à poils raides et durs et avec des cornes digne de la biquette de Monsieur Seguin, ces races s'adaptent bien au climat et à la rareté de la nourriture (en ville ils mangent du papier et les déchets ménagers !). Même des gens de la campagne venant au Sénégal ne veulent pas croire à «l'ovinitude» des moutons sénégalais. Le culte du «M'as-tu vu je suis plus riche que toi» étant plus important que le rite musulman lui même, le prix des moutons durant la Tabaski s'envole chaque année un peu plus. Ainsi à Dakar on voit certains moutons s'arracher à 1 000 000 de CFA (1530€) avec un prix moyen de 100 000CFA (153€).

Les porcs quant à eux sont exclusivement élevés par les Sérères et les Diolas catholiques (forcément...). L'épidémie de peste porcine de 1996 à Koalack a considérablement ralenti la progression de cet élevage. Aujourd'hui plus de 300.000 cochons sont élevés au Sénégal. Le porc n'est pas un animal commercialisé. Il est en effet destiné à être mangé par la famille qui l'élève et sera très rarement vendu. Les espèces sont celles que l'on trouve en Europe. La viande de porc est très bon marché. Contrairement au bœuf, au mouton ou au poulet, il n'existe pas véritablement de cours officiel. Un cochon de lait de 7 à 10 kilos dépassent rarement les 10000CFA (15€). Deux espèces sont présentes au Sénégal, le petit cochons d'origine sauvage, très résistant aux maladies, et le gros cochon européen beaucoup plus fragile.

Les chevaux : Pour finir, parlons du cheval. Cet animal n'est pas élevé pour sa viande qui n'est pas mangée au Sénégal. Il s'agit en fait d'un animal qui sert de traction pour les transports ruraux et l'agriculture (ex: à Mbour, les «taxis» sont des charrettes). Leur nombre confondu avec celui des ânes est estimé à 900.000 (chiffres 2003). Si vous allez à Fadiouth, vous verrez des dizaines de ces ânes gris, soignés amoureusement par les gosses qui les possèdent et s'en servent pour aller aux champs.

Les chèvres qui sont mangées au Sénégal sont rares et une famille peut en élever une ou deux. Là encore il n'y a pas de troupeaux. Le nombre de têtes de caprins est estimé à quatre millions (chiffres 2003). C'est au Sénégal oriental et en Haute-Casamance que l'on rencontre le plus de chèvres.

Voir aussi la page sur les statistiques agricoles détaillées (chiffres et données de la FAO de 1994 à 2003).
Site de la NMA fabricant des aliments pour bétail et volailles au Sénégal
Page de l'INRA détaillant l'élevage des petits ruminants en milieu villageois au Sénégal

Élevage dans la révolution agricole au Waalo de D.Tourrand "
Évaluation de l'élevage bovin dans la zone sahélienne au Sénégal

Vos contributions et commentaires sur le contenu de cette page

  • par JABOUR -3 votes   

    salut je me nomme michel jabour,etudiant à la FASEG de l'UCAD. Retournons à nos sources ne signifie pas reprendre les les méthodes ancestrales mais plutot consulter les bons conseils de nos vieux intellectuels.

  • par Bolol 0 votes   

    Le dossier de mon projet agricole est au complet reste le plan comptable,plan trésorier ,plan financement.je chercher des partenaires pour le financement .contacte salyardo@yahoo.fr

  • par dadis diene ndong -1 votes   

    slt j ai deposer le concour de la douane je voulais que vs m aider sur les documents concernant le concour merci

  • par gedah -1 votes   

    salut nous sommes des etudiants en agro ecologie nous nous sommes regroupes en gie qui s?appelle novish et nous souhaitons nous lancer dans l'horticulture et nous avons des projets nous cherchons des activités pour démarrer

  • par seynabou étudiante a la faseg a lUCAD 1 votes   

    Et bien Philippe le problème est simple puisque la France comme vous le dite a les moyens,la qualification nécessaire et d'excellent produit pour permettre a la terre de ce reproduire or ce n'est pas le cas pour le senegal qui bien sur reçoit des subventions souvent détourner ou qui n'arrive jamais a destination Donc il ne s'agit pas de faire une comparaison sur la population car les pays ne sont pas au même rang économiquement et financièrement

  • par dialloamadou75 1 votes   

    bonjour tout en vous encourageant pour le travail. J'ai une idée sur l'espace des filaos de Guediawaye qui pourrait développer l'agriculture et l?élevage au Senegal

  • par ousmane ndiaye 1 votes   

    Bonjour moi et mon groupe nous sommes des étudiants en faculté des sciences économique et de gestion recherchons des informations concernant les problémes et les solutions de l agriculture au sénégal si vous avez des infots veillez nous contacter ou nous les envoyé a l adresse suivante:ndiaye-ousmane1993@hotmail.fr

  • par moha 0 votes   

    bjr je mapelle moha et jen sui fier

  • par diakhou 1 votes   

    bonjour je m'appelle Ibrahima je suis originaire de kaolack et je suis beaucoup intéressé par l?agriculture et l?aviculture mais je n'arrive pas à réussir faute de moyen mais aussi d'un bon projet. J'aimerai avoir des conseils.

  • par jonasina5 0 votes   

    salut le nouveau message lancé par le chef de l'état n'a pas encore un impact dans le monde agricole sénégalais .Que dites-vous des centres de formations comme le CFPH de cambérène qui forme des jeunes et à leur sortie bon nombre d'entre eux change de profession faute du manque d'emploi,de financements et moyens de productions.

  • par bololsow 1 votes   

    Projet / GIE T.R.A.T. ( Toufnde Roumde Agricole Thikite : en peul en français : bord du fleuve à coté du village de Thikite objet du projet agricole) Salamatou Sow ( Saly), 37ans, est né et a grandi au village qu'elle a quitté à l'âge de 18ans pour aller à Saint Louis (Sénégal), elle a ensuite immigré en France et bénéficie de la double nationalité Française et Sénégalaise. Saly travaille en France en tant de chef de rand au restaurant du Novotel Marseille. Le frère de Saly cultive au village 500m, fort de son expérience les villageois ont demandé à Saly, à son frère Mamoudou et son ami Alassane Dia qui représente le GIE du village de développer ce projet. Saly est en charge de la création d'un dossier et de la recherche de financements. Le village de Thikite se trouve au nord du Sénégal en bordure du fleuve Sénégal et de la rivière Doué ( voir A X) Les villageois de Thikité représentés par le chef du village ont confié à Saly Sow l'exploitation de 47ha en bord du fleuve pour sa mise en culture ( voir AX). Le Village de Thikité à 1500 habitants environ et d'autres villages se trouvent aux alentour. Les villageois vivent aujourd'hui de la culture et de l'élévage de manière artisanale. Ce projet est pour eux une opportunité pour "mieux gagner leur vie". Saly aura le bénéfice de 25ha les habitants des autres 25ha. La culture prévue est du riz, des haricots verts et un potager, les premières campagnes seront dédiées au riz. La première année 15ha seront cultivés: cette première tranche correspond à un investissement pour la protection du terrain : une digue et l'aménagement du terrain. La deuxième année 30ha seront exploités et la troisième année 45ha. Ce projet emploiera jusqu'à 1300 personnes des différents villages pendant 2 campagnes par an. Les hommes seront plus dédiés à la culture, les femmes et les enfants à la récolte. pour le projet je veux faire du riz et marécage qui intéresse tous pour vivre mieux. je suis allé au sénégal le 03 février 2012 pour crée le g-i-e le 15 févreier au centre services fiscaux de SAINT-LOUIS qui s'appel TRATqui signifie TOUFNDE ROUMDE AGRICOLE THIKITÉ. siége social et établi à cité niack sor saint-louis du senegal .la durée du groupement d'intérêt économique est fixée à 99ans . Immatricule du siége social au régistre du commerce et du crédit moblier tenu au greffe du tribunal régional de st-louis sous le numéro SN-STL-2012-C-0146. Les activités principales agriculture,Elevage,commerce général,prestation de services et transport.PAR MAITRE BOUBACAR SADIKH SOW GRÉFFIER. Les dirigents et gérants administrateurs et associés ayant le pouvoir d'engager la personne moral je comtpe sur votre aide financière pour réaliser mon projet.merci de me contacter pour tout questions.salyardo@yahoo.fr. 0623720890. SALAMATOPU SAIDOU SOW NÉE LE 15/07/1975 À MERY PRÉSIDENTE ALASSANE AMADOU DIA NÉ LE 07/03/1978 À THIKITÉ VICE PRÉSIDENT MAMOUDOU ARDO SAIDOU SOW NÉ LE 01/01/1980 À MÉRY TRÉSORIER.G KALIDOU MOCTAR MBODJI SÉCRÉTAIRE N.I.N.E.A:004520723 date d'immatriculation.le 17/février 2012 FAIT À MARSEILLE LE 16/01/2013 '' Mail affecté d?une étoile tel:0033623720890

  • par jujuetkiwi 1 votes   

    Bonjour, je suis à la recherche d'un cheval déjà dréssé de préférence ou près à être dréssé, pas de race juste pour balade. Je n'ai pas un gros budget mais j'attend toute proposition merci je me situe sur Dakar

  • par amagamai 0 votes   

    je cherche conseiller pour mon exploitation en arboriculture dans la perifferie de tambacounda .

  • par mustapha 1 votes   

    bjr je m'appel mustapha age 31 ans titulaire d'1 diplome de technicien en agriculture au maroc avec experience de 5 ans je cherche le travail tel +212)0666 05 15 73

  • par assnooma 1 votes   

    offre divers produits: noix acajou- buerre de karite - assnooma@yahoo.fr

  • par idy 1 votes   

    Je suis technicien agricole,je cherche un emploi.tel 77-686-99-08

  • par latsoucke 1 votes   

    bien fait

  • par IBRAHIMA NIANG 0 votes   

    Salut, La meilleur façon d'aider les agriculteurs Senegalaises c'est instore les SEERE AGRICOLES au Senegal.Please visitez cette site: www.nassanserre.com contacts :lacivert@nalbantogludemir.com

  • par Minta 0 votes   

    Eleveur agricultrice ds region diourbel cherche partenaires associes pour investissement de grande envergure

  • par Amy 1 votes   

    Bonjour, je suis une femme active très intéréssée par l'agriculture, je suis à la recherche d'un bon cultivateur de légumes et de vollailles avec qui collaboré, afin de faire connaitre ces produits.

  • par 1 votes   

    phillip pour les agriculteur senegalais il fo des equipement moderne avec des formation pour qu'ils puissent faire des resultat car la majeur partis des producteurs non pas fait les bacs et pratique l'agriculture traditionnelle il ne peuvent ni savoir si un corrigé un sol s'il a des defaut pour avoir de bon rendement

  • par diallo baba 0 votes   

    je suis technicien en horticulture j'ai des terre au bord de la vallée du fleuve senegal je cherche un partenaire qui pourra financer mon projet

  • par CHRISTIAN 1 votes   

    bonjour, je suis étudiant à l'UFR des sciences économiques et de gestion de l'université Gaston BERGER de Saint Louis du SÉNÉGAL. Une fois en Licence, je voudrai me spécialiser en gestion des entreprises agricoles. j'aimerai avoir plus d'informations sur l'agriculture sénégalaise (secteurs d'activité, problèmes rencontrés et présents, perspectives,...).

  • par Mamadou 1 votes   

    je suis content de voir que mes freres Senegalais s interessent a l agriculture maintenant. je suis au ghana ou je gere une ferme de 900 h de riz avec un partenaire bresilien. Nous sommes vraiment interesse pour le Senegal. Merci d avance Mamadou 00233542328573

  • par Abdou 1 votes   

    bonjour je m'appelle Abdou je suis en Italie mais j'ai lancé pour crer une societe d'explotation agricole et de vente de materiels agricoles comme tracteurs et autres le materiels est disponible et je suis a la recherche de clients et de partenaires surtout au senegal tel 00393270569532 layesowcafe@yahoo.fr

  • par demba 1 votes   

    bonjour . jai vecu 25 d imegration en espagne et je voulai retourner au senegal ver lagriculture .jai un equipement pour comencer,un tracteur ,un motopompe,un motoculteur ect...¿ dŽou je peu trouver des terres ? merci pour m'aider 0034632858803 espgne

  • par DIAWSOO 1 votes   

    salam je suis dans la microfinance et j'ai une superficie de 5ha et je cherche un partenaire pour demarrer l'activités de mes reves: 221775223817

  • par Frédérick 0 votes   

    Bonjour, Je suis Breton - français... mais bof...! - je recherche un partenaire pour développer un ensemble agricole qui veut se voir digne et opérationnel en Casamance, je compte m'y rendre dans quelques jours, votre projet retient toute mon attention, je ne compte pas rester en Europe, et j'ai besoins de m'entourer de professionnels. J'ai 45 ans, une carrière de gestion d'entreprises en France et en Suisse derrière moi, et plus du tout envie de vivre sans raisons utiles. Je connais des entrepreneurs au Sénégal, notamment dans le bâtiment, j'ai aussi des gens très doués pour chercher les budgets, un peu d'argent perso, et une âme de paysans dans le sens ou je considère qu'il ne faut pas laisser des gens tuer la terre en la sur-exploitant, que je considère que la territoire est aussi l'affaire de ceux qui y habitent, qu'ils en sont sont les acteurs, et que pour réussir il faut s'entourer de personnalités fortes et motivées. Si mon profil vous plaît, j'attend votre retour de courrier. Cordialement, Frédérick 0041 78 748 58 73

  • par soumare 1 votes   

    salut je suis chercheur je fais des recherches sur l'agriculture au senegal si vous avez des documents ou des informations.merci de me faire signe 00221773257559

  • par MAMADOU LO 1 votes   

    salam je suis depuis 6 ans en espagne jái fait une formacion dans le domaine solair eolico jái un terrain de 10 hectares au senegal pres de Rufisque et de lárgent disponible je voudrais des conseil pour revenir travailler dans mon pays contacto: 0034647179069

  • par amathk 1 votes   

    je suis un étudiant qui doit traiter un sujet de fin d'étude sur les potentialités piscicoles d'une des régions du sénégal et je souhaiterai avoir des documents de reférences ou un exemple de plan.

  • par mbaye fall 1 votes   

    bjrs je suis un jeune paysan trés ambitieu qui réve de devenir un grand agriculteur.Pour la réussite de mes projets j'aimerai bien avoir des partenaires financiers.En ce qui concerne les terres j"en ai des hectares dans la région de fatick,jéexcelle dans l'élevage.j'éspére que ma requette ne sera pas sanssuite.MERCI.Email m_bayefall@hotmail.fr

  • par jjo 1 votes   

    slt jai 14hta de terre cultivable a richartoll pres du fleuve et a defaut de moyen ces millier de m2 ne peut etre exploiter.je cherche poartenaire

  • par sow 1 votes   

    je suis senegalais j'ai 1 hectare a o metre de la riviére eau douce par manque de moyen j'arrive pas a l'exploiter mes besoins en finance est de 1500000 et je n'exclut pas de vendre je lance un appel a tout le monde de me chercher un financier

  • par solaire 1 votes   

    L'energie solaire pour developper l'agriculture, solutions pompage solaire pour l'irrigation goutte à goutte et systemes photovoltaiques pour residences, bureaux et industries. 00221 77 647 25 69

  • par gasssama 1 votes   

    je fait du maraichage a tambacounda je cultive du gombo et du piment je cherche un commercant pour la vente de mes produits

  • par ruralfinance 1 votes   

    bonjour tout le monde nous sommes de jeunes diplomés en Sciences Economiques et nous avons monter une société de conseils en finance agricole et nous cherchons des partenaires potenciels pour murir notre projet nous sommes à lécoute nous avons déja réliser des prestations très apprécié dans le marché PRAGMATIXAGRICOL

  • par ousseynou22 1 votes   

    Bonjour je suis etudiant en genie civil et je doits presenter PFE dont une partie porte sur le perfectionnement des activités agro-pastorales; je demande votre aide en me donnant des idées, des exemple d'ouvrage à consulter, mais d'intégrer dans une societé de specialité hydraulique et developpement rural. En vous remerciant, j'attend vos reponse sur ouzinsdiouf@live.fr. je vous remercie.

  • par ndeye 1 votes   

    Bonjour, Je loue des tracteurs aagricoles en trés bon état avec un chauffeur. demi journée 25000 journée 40000 Tel : 77 038 18 15

  • par timera 1 votes   

    bonjour ...JE VIE EN FRANCE JE CHERCHE QUELQU?UN QUI poudre m'aider sur l?agriculture et eleuveur au senegal vos ide son bienvenue je commence ce projet et ces la terre pour moi avenir......tim

  • par Pape 1 votes   

    Une société agricole recrute un technicien supérieur en agriculture ou agroforesterie (BAC+3 et plus). Ayant une expérience avérée de 3 ans dans la gestion de ferme agricole. Merci de bien vouloir m'envoyer votre dossier de candidature: CV + Lettre de motivation+ Copies diplômes+ Attestation de travail ou de stage et prétentions salariales. BP: 24 555 Dakar- Ouakam.

  • par Mathieu 1 votes   

    Bonjour, je suis un jeune diplômé (Brevet de Technicien Supérieur en Protection des cultures)et je suis très intéressé par l'agriculture africaine et son développement je voudrais savoir s'il vous était possible de me communiquer des informations sur comment trouver travailler au Sénégal, j'aimerais vraiment compléter mes connaissances et compétences sur l'agriculture et l'agronomie. mathieuhoulle@live.fr

  • par senegalois 1 votes   

    voila une vrai question philipe ! voila mon vrai challenge ; je part dans 10 joures acheter du terrain . en faite ; si vous voulez acheter un terrain ; le mieux serais de le faire a coté du miens ! afin de s'aider mutuelement ; materielement..

  • par IDY DIOP 1 votes   

    BONJOUR, je suis étudiant en Master 2 de phytopharmacie et protection des végétaux.je souhaiter effectuer un stage sur le suivi écotox ou la lutte biologique ou lutte intégrée dans le but d'ameliorer les rendements des cultures maraichaires pour perfectionner ma formation. tel: 774463456

  • par prince13 1 votes   

    je me nomme pene mor je suis etudiant en 2 eme année au centre national de formation des techniciens en agriculture et genie rural de ziguinchor j'avoue que l'griculture senegalaise doi etre accompagnée car elle a d'enormes potentialites et l'Etat doit encourager la plitique d'inteagration de la pisciculture-agriculture

  • par Djibril Sane 1 votes   

    Je suis membre d'un Groupement d'Intérêts Economiques "GIE AMANO" actif dans la transformation de céréales, d'élevage de petits rhuminants, volaille, ntre autres.Nous projetons de développer l'Appiculture Familiale et nous cherchons pour cela des Partenaires de tous ordres: Parrains, Sponsores, Mécénes, bailleurs, ... pour nous accompagner. Nous espérons recevoir dans peu de temps une réponse positive. Vous en souhaitant bonne réception, salut!

  • par AMANI-TINNI 1 votes   

    Bonjour,je suis le directeur d'une jeune societé de vente de materiels agricolees et pesticides.Apres avoir lu votre article sur la culture du riz au senegal,j'ai jugé donc utile de vous proposer un de nos produits qui a pu alleger la tache aux riziculteurs chez moi au NIGER.il s'agit donc de:HERBIAX 60 AD-AG(bensulfuron-methyl)qui est un herbicide selectif de riz.TEL:00229 90 57 57 91

  • par fédior 1 votes   

    salut je suis étudiant en licence a la faculté des sciences économiques de Dakar je cherche des partenaires qui veulent investir dans le domaine agricol au sénégal .je peu leurs aidé a retrouvé des terres .si tu est intéressé tu peux me contacter au 00221773045520 ou par

  • par Ling's 1 votes   

    Bonjour M.Philippe c'est juste pour te dire de ne pas perdre ton temps avec ça car nous souffrons de dirigeants goulus qui n'ont aucun pité.Nos commerçants sont toujours là à arnaquer nos agriculteurs qui travaillent jusqu'à present avec leurs mains.L'aide n'arrive jamais à sa destination finale à cause de nos .... de politiciens.Je te conseil de ne pas perdre ton temps à chercher la cause de la misére de nos agriculteurs sénégalais car ce n'est que ça.En meme temps des gens accaparent des hectars et des hectars sans pour autant payer aux cultivateurs le prix de leur travail.

  • par mima 1 votes   

    Bonjour, Je suis étudiante ingénieur en Ingénierie et management des process en france. L'agriculture m'intéresse et je compte après mes études monté un projet de construction d'usine de transformation de Maïs au Sénégal. j'aimerai bien avoir votre avis sur mon projet. merci d'avance

  • par widji 1 votes   

    slt jsuis felix wilfa etudiant a la FASEG jsuis pas trop fane de l'agriculgture sans vous mentir mais par pur curiosite et pour avoir une petite connaissance la dessus j'aimerais savoir ou plutot dire connaitre les informations concernants: types de structures et politique de promotion des entreprisses agricoles au SENEGAL svp

  • par investisseur 1 votes   

    bonjour je suis pret à investir au sénégal dans le domaine de l'agriculture en général, peut importe la région. Je voudrais savoir si des gens ambitieux auraient des projets allant dans ce sens ayant besoin de financement. Soumettez s'il vous plait des projets réalistes et pas d'une très grande complexité mail : cheikhsilla@yahoo.fr

  • par momi 1 votes   

    bonjour je suis un passionè de l 'agriculture je travaille en italie dans une grande sociètè de distribution de produits agricoles je suis entrain d'ètudier un projet pour retourne au senegal pour aller cultivè la terre qui est interesse peu me contacter j ai deja commencer le travail

  • par pegy 1 votes   

    salut je suis pelagie aboi, ivoirienne, je prepare un Brevet de Technicien Superieur ( BTS )en agronomie option production végétale. j'aimerais obtenir un stage au sénégal afin de mettre mes compétences au service d'une entreprise agricole. Merci de bien vouloir me contacter au 00225 09 05 77 62

  • par lenzo 0 votes   

    bonjour je suis une jeune sénégalaise de33 ans et depuis quelques temps je suis trés intéressée par l'agriculture et je pense sérieusement m'y mettre mais je ne sais pas par ou commencer.Merci de partager avec moi vos idées.

  • par Mariama 1 votes   

    Bonjour, je suis ingénieur agronome diplômée de l'école nationale d'agriculture du Maroc dans la spécialisation des sciences et techniques des productions végétales. J'aimerai trouver des experts dans le domaine pour monter et travailler des projets avec. Merci mariamaaidara@gmail.com

  • par iris 1 votes   

    Je cherche des acteurs susceptibles de subventionner une application utile pour le secteur agricole. Si vous etes interessé ou connaissez des gens que cela pourrai interesser merci de m'ecrire à iriskane84@yahoo.com

  • par mr ngom 1 votes   

    bonjour , je suis enseignant j'ai des terres dans le delta du fleuve sénégal je cherche un ou des partenaire(s) pour pouvoir réaliser mon projet agricole i-d faire produire du gombo en quantité industruelle avec la culture bio . je suis a votre écoute . e-mail: ngom@alassane@yahoo.fr

  • par cheikh seck 1 votes   

    je suis un agriculteur et je possede 4 hectares de terre dans la region de kaolack plus precisement dans la communaute rurale de latmingue village de kavil. mes moyens sont limites et je cherche un partenaire merci

  • par Abiba 1 votes   

    salam je suis étudiante mais j'aimerai pratiquée un stage, disons je rêve de faire la pisciculture l'un de mes métier svp si quelqu'un pratique ce métier qu'il m'accorde une chance de voire comment ça fonction je suis prête à me déplacer partout au Sénégal pour apprendre. veuillez me contacter au 77 242 12 01

  • par soubba 1 votes   

    Bonjour, je suis passioné par l'agriculture et je cherche des partenaires pour développer un projet agricole au senegal. mbayemeissa70@hotmail.com

  • par emma 1 votes   

    Slt, je suis ivoirien et je cherche des contacts au sénégal pour la commercialisation de la banane de déssert. Contact 225 01 03 65 68.

  • par ado 1 votes   

    Concepteur d'un appareil permettant d'optimiser l'efficacité des produits phytosanitaires avec des références au senegal nous avons créé une entreprise à dakar au nom laboratoire hydro-agly notre objectif l"évolution de l'agriculture senegalaise

  • par boulaire 1 votes   

    salut. Bon je suis étudiant a DAKAR et en même temps suis un passionné d'agriculture. J'ai bénéficié d'un lopin de terre (4ha) dans la vallée du fleuve Sénégal et j'ai d'énormes difficultés a trouver un motopompe puissant pour exploiter cette terre? Que dois je faire?? merci

  • par Mouhamed Aidara 1 votes   

    salam maleykoum je suis a 300 mettre du fleuve près de Saint Louis, je souffre pour trouvé des tuyaux pour la moto pompe,je doit graduer la terre a la main ,et chercher l eau a pied pour remplir mes bassins. dieu est grand et la terre ne mens pas . mess_777@hotmail.com

  • par messi 1 votes   

    salu philip j voudré essayé d vou répondre. j sui instituteur dan un vilage d gossas.aprés avoir lu votre comparaison entre un produteur sénégalais et français j répondré en disant k l'état n'investit pas assez et le peu d subvention kil fait exemple mon chef d vilag a reçu k 8kg d'arachid s ki est insignifiante(il a meme donner cette arachide à ses femmes pour la préparation du cous-cous) et cette subvention est toujours détournée par on ne sait ki.ils leur faut encore plus et aussi du matériel pour cultiver un trés vaste champ.si l'état n'a pas assez d moyen il doit essayer de regrouper les paysans en gie et leur donner du matériel ou le subventionner a se k tous les cultivateurs puisse en possédé. cela est indispenssable pour travailler sur une vaste étendue car il manque de bras dans les vilag.à ceux qui ki reste au vilag il leur faut des moyens

  • par zadig67 1 votes   

    Agronome à la retraite, j'ai passé 10 ans à la Réunion et je connais les problèmes que peuvent rencontrer les gens qui habitent en brousse. J'ai donc décidé de les aider et je suis en contact avec quelques jeunes courageux pour mettre en place des cultures maraichères.j'envoie des graines et je les guide par mail. http://www.nature-jardins.com/

  • par nassilaabdouch 1 votes   

    Je posséde une Société d'Etude et réalisation de projet hydro-agricole. Maroc. Je suis intéréssé à collaborer avec des professionnels du secteur pour créer une antenne au Sénégal. Nous apportons un savoir faire de 34 ans en agronomie et nous pouvons développer le monde rural du Sénégal comme on l'a fait au Maroc. Salutations. e-mail: nassilaabdouch@gmail.com

  • par HARY 1 votes   

    MOI JE CROIS QUE L'EAU EST UN PROBLÈME CRUCIAL

  • par ibouemma 1 votes   

    bonjour pour vous répondre:je dirai qu'il faut des machines(tracteurs moissonneuses batteuses etc..) mais surtout former la population locale qui s'y travaille en général se sont des gens qui pratiquent la techniqie des ancêtres jusqu'a présent plus de l'angrai mal utilisé mais aussi obliger les agriculteurs à faire de la qualité et se faire connaitre pour pousser le sénégalais à consommer sénégalais au lieu de critiquer chaque gouvernement qui passe.Ensuite une politique protectionniste doit être mise en place et vous les gens du nord vous devrai acheter nos produits comme nous le faisons avec vous oubien vous essayer de subventionner nos agriculteurs. pour que les choses aillent mieux philippe tu devras commencer par toi méme en consommant sénégalais. j'espére qu je t'ai convaincu. peace and peace

  • par dume co 1 votes   

    la reponsse! organiser partout des structures de conservation:fruits;legumes ,cereales viandes ;poissons etc mais aussi organiser les transports

  • par youssou 1 votes   

    je suis au Sénégal et j'ai la chance de vivre au quotidien dans le secteur agricole. Les éléments de réponse que je souhaite donner à philippe sont: - l'élaboration participative d'une véritable politique agricole nationale - ériger les exploitations agricoles en entreprises (professinnaliser le métier) - protéger autant que possible les produits locaux vis à vis des importations

  • par mouhamed 1 votes   

    on est un groupe d'etudiant ingénieur des travaux agricoles actuellement à l'encr et on pensait beaucoup travailler pour le developpement de l'agriculture au sénégal et on a bocoup apprécié votre article sur l'agriculture.on voudrait des liens et des relations pour nouus aider et nous informer merci d'avance.vous ppourrez repondre sur ma boite

  • par fk 1 votes   

    pour repondre a philip il faudrait qu'il est d'abord du semence et des materiels agricoles au senegal on continu toujour de travailler la terre manuellement raison pour laquelle ce secteur est tjr a letap initial ence moment je fé un projet agricol portant sur l'orticulture l'elevage et l'apiculture mais on se rend compte que ce milieu n'est pa du developpé.merci

  • par philippe 1 votes   

    Bonjour, jŽai lu avec interet votre article sur lŽagriculture au senegal et je me pose une question: En france, 1,5 pour cent de la population travaille dans ce secteur; ils en vivent bien.(Ils se pleignent tous le temps, mais disons quŽun agriculteur senegalais serai tres contemps dŽavoir le revenu dŽun agriculteur francais). 70 pour cent des personnes au senegal travaillent dans ce secteur.Ils en vivent peniblement. DŽapres vous,que faudrait-il faire pour que la situation des agriculteurs senegalais sŽameliore, plus precisement, quels sont les deux ou trois priorites a mettre en places pour que les choses aillent mieux. Je nŽespere ni la reponse dŽun specialiste en economie, ni une reponse de trois pages. JŽaimerai juste le point de vue de quelquŽun sur place. Merci de tout coeur. Philippe