Bulletin N°12 de Planete-Senegal.com
(le Grand Retour)

SOMMAIRE DE CE BULLETIN :

1- Infos du jour (aujourd'hui avec le Walfadjiri )
2 - Nouvelles de senegalaisement et des cours de wolof
3 - Les messages des sénégaliens (vous êtes bien des sénégaliens non ?)
4- La météo du jour (aujourd'hui Ziguinchor)
5- Infos diverses (concours de proverbes)
6- L'Association du Jour (l'Association Siné-Saloum)
7- Le site du jour (Les femmes dans la littérature sénégalaise)


1) Infos du Jour avec Walfadjiri
(les articles entiers sont disponibles sur la page
Infos/médias de www.planete-senegal.com)

1- Des métiers en voie de disparition.
2- La guerre des gangs fait un mort
3- MISS Sénégal 2000
4- Suspicion autour de la justice Sénégalaise )

Des métiers en voie de disparition.

Les stagiaires du Pôle de technologies industrielles du Sénégal ont reçu des mains du ministre des Mines, de l'Industrie et de l'Artisanat, M. Landing Savané, leurs attestations et les certificats d'homologation. Cette cérémonie a été l'occasion de revenir sur le programme ambitieux de ce centre de référence.

Le ministre des Mines, de l'Industrie et de l'Artisanat, M. Landing Savané, était, vendredi dernier, l'invité du Pôle de technologies industrielles de Dakar. En présence de presque l'ensemble de son cabinet, il a présidé la cérémonie de remise des attestations de fin de formation des chefs de garage de l'Asecna (agences de Bamako, Douala et Ouagadougou) et des certificats d'homologation des soudeurs. Né de la privatisation du Centre de formation industrielle de l'ex-Dakar-Marine, ce Pôle de technologies industrielles est un espace intégré d'acquisition de compétences, de recherches et de prestations de services. Depuis le démarrage de ses activités en janvier dernier, ce pôle jouit d'une réputation qui va bien au-delà des frontières du Sénégal. C'est ainsi que le ministre a rappelé que le Pôle de technologies industrielles "est une structure qui a une mission importante pour le développement industriel du pays et de la sous-région. Elle s'acquitte bien de cette tâche, d'autant plus que nous sommes à une phase de démarrage. C'est le produit d'une privatisation. C'est une expérience qui démarre et qui porte sur un domaine essentiel dans le monde dans lequel nous vivons. C'est-à-dire la formation des ressources humaines". C'est cette ressource humaine qui était honorée par le ministre, en présence de l'administrateur du Pôle de technologies industrielles, M. Papa Nalla Fall. Selon ce dernier, l'une des ambitions de ce pôle est d'"œuvrer pour combler les déficits dans des métiers de la métallurgie, du soudage, de la thermie, du froid et de la climatisation". Ce qui sera réalisable grâce à l'utilisation de moyens modernes de formation, de production et de communication. Pour l'administrateur du pôle, le bon déroulement de la formation favorise la diminution du fort taux d'exportation des ressources humaines. Et M. Fall de poursuivre : "Le dispositif peut être mis en place pour la satisfaction des besoins en ressources humaines dans des corps de métier rares ou en voie de disparition." Pour que ce programme ambitieux d'investissement et de développement se réalise, le Pôle de technologies industrielles de Dakar doit investir "6 milliards de nos francs destinés à la réhabilitation et à la modernisation de ses moyens matériels et humains", souligne M. Fall. Tidiane TAMBA (Stagiaire)
Tidiane TAMBA

La guerre des gangs fait un mort

Deux gangs rivaux qui se disputaient le contrôle de Pikine, se sont affrontés la nuit du 3 juillet dernier à 2 h, au terrain de football de Guinaw-rail. Il s'agit de la bande de Thioul qui opère aux abords du marché de fruits Syndicat et celle d'Ibrahima Diba, un boucher qui écume la Seras et ses environs. Ce dernier a succombé à ses blessures dans une âpre bataille avec le camp adverse. Lequel a enregistré de nombreux blessés dans ses rangs. Quant à la victime, elle aurait reçu, selon des sources médicales, plusieurs coups de couteau au thorax, à la nuque, aux côtes, etc. Spécialisé dans le vol de bétail, l'abattage clandestin et la vente de charogne, Ibrahima Diba avait sous ses ordres plusieurs jeunes agresseurs chargés de dépouiller passants et usagers des abattoirs municipaux, et n’hésitaient pas à commettre aussi de petits larcins. Deux jours après ce meurtre, la brigade de recherche du commissariat de Thiaroye, en collaboration avec celle de Pikine, a ratissé le secteur pour appréhender Gilbert Mendy et Youssou Dieng, deux membres des deux gangs rivaux, selon nos sources. C'est la seconde fois en moins d'un an que les Pikinois assistent à un règlement de comptes entre gangs rivaux. D’ordinaire, les gangs se battaient à l’arme à feu. Cette fois-ci, c’est avec des couteaux et des machettes. Des armes blanches de plus en plus utilisées dans le milieu pour tuer ou blesser un adversaire.
A. R. NDIAYE

MISS Sénégal 2000

La fée venue de l'Est

L'élection de Miss Sénégal s'est tenue samedi dernier. Yaye Fatima Camara a remporté le titre, suivie de Madeleine Gomis et de Aby Cissé. L'heureuse élue a 19 ans et est ressortissante de Tambacounda.

En déjouant tous les pronostics, Yaye Fatim Camara est devenue, samedi dernier, la nouvelle ambassadrice de charme du Sénégal. C'est avec beaucoup de grâce et de volupté qu'elle a porté la somptueuse couronne qui lui confère le titre de Miss Sénégal. Madeleine Gomis et Aby Cissé, respectivement Miss Dakar et Miss des Sénégalais de France, sont ses deux dauphines. L'ambiance était bon enfant et le public s'est beaucoup amusé au jeu des pronostics, avant le début de la manifestation. "C'est Miss Dakar qui va remporter le titre, elle est très éloquente", martèle une dame. "Ce n'est pas seulement l'éloquence qui compte," fait remarquer un monsieur. Du côté des candidates, un semblant de sérénité régnait. Mais l'angoisse et l'anxiété se lisaient sur les visages au moment de leur passage pour rejoindre les loges. Le début de la manifestation viendra reléguer au second plan toutes ces peurs. Et au fur et à mesure des trois passages, les filles reprenaient confiance en elles. Les déhanchements mettent en valeur les tenues arborées, rehaussées par des coiffures impressionnantes. Chacune y va de sa touche personnelle. A chaque passage, le public apprécie par des applaudissements nourris. On se croirait au festival de Cannes, surtout quand les défilés de présentation de mode et les prestations des artistes viennent s'y mêler. Un spectacle garanti. Mais dans ce genre de spectacles, la partie émouvante est toujours prévue pour la fin, avec la proclamation des résultats. Pour cette année, l'émotion du vainqueur est revenue à Miss Tambacounda, Yaye Fatim Camara. Si ce choix peut paraître surprenant pour certains, ceux ayant effectué le déplacement n'ont guère été pris au dépourvu. Il est vrai que la candidate du Sénégal oriental s'est imposée, au fil des passages, par sa grâce, son assurance, son charme et la beauté qui émanaient d'elle. La nouvelle Miss Sénégal souligne qu'elle n'a douté à aucun moment. "Mon moral était au beau fixe. Nous étions toutes belles, mais c'est Dieu qui a voulu que cela se passe ainsi et nul ne peut rien contre la divine", nous confie l'heureuse élue. L'ambassadrice est alors couverte de cadeaux, dont un chèque de 5 millions. Déjà, elle sait ce qu'elle en fera :"Nous sommes six enfants dans ma famille, et je suis la quatrième. Depuis la disparition de mon père, il revient à ma mère la lourde charge de nous élever. Avec cet argent, je compte l'aider. Mais je tiens aussi à faire un don à mon école," explique-t-elle. Devant ce don du ciel venu un soir changer son existence comme dans un conte de fée, consciente des nouvelles exigences qui lui seront imposées, cette native du Poisson n'entend pas se compliquer la vie. La fête était certes belle, mais riche en revendications. Pour la petite histoire, la miss Kolda, Maïmouna Cissé, déçue et en colère, s'est évanouie. Les critiques aussi n'ont pas manqué. Tant du côté des membres du jury que des invités. "Cette manifestation est la fête de la beauté, de la grâce et de l'élégance. Seulement, même s'il y a eu des améliorations, beaucoup reste encore à faire sur le plan de la pudeur. Le défilé en nuisette par exemple est très indécent, car il ne faut pas oublier que nous avons nos réalités", confie Mme Aminata Tall, ministre de la Famille et de la Solidarité nationale. Mais en tant qu'ambassadrice de charme du Sénégal, il ne faut pas oublier que, sur le plan international, le défilé en maillot de bain est une obligation. Pour la styliste Diouma Dieng Diakhaté, "une miss, ce n'est pas seulement la beauté, il y a la culture générale aussi". Selon elle, il serait assez intéressant de revoir les critères pour éviter d'avoir un corps bien fait pour une tête vide, "car sur le plan international, cela ne pardonne pas".
Cathy YOGO

Suspicion autour de la justice Sénégalaise

Troublantes coïncidences autour d'un jugement

Le Guichet des Droits de l'homme installé à la présidence de la République vient de réceptionner un gros dossier mettant à l'index la justice sénégalaise.

Au moment où un grand mouvement vient d'être noté au sein de la magistrature, alors que les échos de l'affaire du peintre hollandais continuent de retentir, voilà que la justice sénégalaise refait parler d'elle. Encore une fois, de manière négative. La société Mobil Oil Sénégal vient de porter à la connaissance du Guichet des Droits de l'homme le litige qui l'oppose au sieur Mamadou Moustapha Ndiaye, précédemment cadre dans cette société. Pour les responsables de Mobil Oil Sénégal, ledit litige a "été jugé dans des conditions qui suscitent en nous une suspicion légitime". Dans le document envoyé à la présidence et dont une copie a été adressée à l'ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal, le président directeur général de Mobil Oil Sénégal a tôt fait de préciser qu'il n'entend pas "remettre en cause le pouvoir souverain d'appréciation des juges". Mais il entend plutôt mettre l'accent sur ce qui semble "être un parti pris, motivé par le seul fait que notre adversaire a comme conjoint un membre de la magistrature". Ce parti pris est à la base, selon le Pdg de Mobil Oil Sénégal, du jugement du 26 mai 1999 rendu par le tribunal du travail de Dakar, déclarant le licenciement du sieur Mamadou Moustapha Ndiaye abusif et condamnant la société à lui payer la somme de plus de 140 millions de francs, incluant 85 millions de francs de dommages et intérêts. Le jugement ayant fait l'objet d'un appel, la Cour d'appel de Dakar, dans son arrêt rendu le 27 juin 2000, a enfoncé le clou, en portant à plus de 336 millions de francs l'indemnité due au sieur Mamadou Moustapha Ndiaye, une indemnité qui inclut 300 millions de francs à titre de dommages et intérêts. Dans de pareils cas, la partie se sentant lésée a les moyens d'utiliser la voie de recours extraordinaire du pourvoi en cassation. Un moyen certes envisagé par la société Mobil Oil Sénégal, mais elle a tenu à souligner certains faits contribuant à douter de l'impartialité du jugement. Ces faits ont comme dénominateur commun que l'épouse de Mamadou Moustapha Ndiaye est un magistrat. Cela aurait pu s'arrêter là et personne n’aurait rien trouvé à dire, mais le problème est qu'au moment du jugement de l'affaire en première instance, Mme Ndiaye était rattachée au tribunal du travail de Dakar. Et quand l'affaire était enrôlée devant la Cour d'appel, elle l'a été devant une chambre dont elle est membre. Une affaire qui sera transférée devant une autre chambre de la Cour d'appel quand les conseils de Mobil Oil souligneront cette incongruité. Seulement voilà : un membre de la Cour d'appel décède et une modification des sections s'impose. Et l'arrêt du 27 juin sera rendu par "une section présidée par l'un des membres de celle dont nous doutions de l'impartialité", fait remarquer le Pdg de Mobil Oil Sénégal. Une succession de faits troublants qui ne peut manquer de susciter la suspicion de Mobil Oil, surtout au vu de la somme allouée à titre des dommages et intérêts. Sur ce point précis, les auxiliaires de justice sont unanimes à souligner que "c'est une première attribuée à une personne physique. Et de manière générale, c'est quelque chose de très rare, mis à part peut-être la condamnation de Sud Quotidien dans l'affaire du sucre". Pour en arriver à cette somme faramineuse, le licencié a obtenu de la Cour d'appel l'équivalent de 248 mois de salaires, soit 20 années de rémunération. A titre d'information, il était à sept ans de la retraite au sein de la société. La société Mobil Oil Sénégal qui soutient mordicus que le licenciement de Mamadou Moustapha Ndiaye est légitime, fait remarquer qu'il est consécutif à une "absence sans autorisation préalable et non justifiée d'un employé durant quinze jours". Ce qui signifie, en langage professionnel, "un abandon de poste constitutif d'une faute lourde". Pour le Pdg de la société pétrolière, "l'allocation d'une telle somme à un seul agent, fût-il cadre, constitue une menace grave pour la poursuite de notre politique d'investissements (...), et porte gravement atteinte à la crédibilité du système judiciaire sénégalais auprès de nos actionnaires". Il reste maintenant aux membres du Guichet des Droits de l'homme de porter un avis sur cette affaire dont la directrice de l'Agence de promotion des investissements, Mme Aminata Niane, a déjà eu vent, selon certaines informations. N'est-ce pas elle qui soulignait, dans nos colonnes, par rapport à la sécurité des investissements, "la faiblesse des institutions judiciaires. C'est-à-dire que les règles du jeu ne sont pas transparentes. Au niveau de la justice, le règlement des conflits est fort lent. Il y a aussi des dérapages dans certains domaines". Elle ne savait pas si bien dire.
Mamadou BIAYE


2) Des Nouvelles de Planete-Senegal.com et des cours de wolof :

Salut à tous les sénégaliens. Nangènedef ? Cette lettre d'information est envoyée aujourd'hui à 3222 personnes à travers le monde ! Tout d'abord merci à tous les internautes qui ont écrit à Planete-Senegal.com pour s'inquieter de la panne du serveur. En effet plusieurs dizaines de mails me sont parvenus. Excusez-moi donc pour cette absence de planete-senegal.com indépendante de ma volonté. Elle est dûe à l'hébergeur du site qui depuis près de 6 mois n'arrivait pas à satisfaire les contraintes techniques d'un mauvais provider au Sénégal. Les quelques vacances que je viens de prendre n'ont certes pas arrangé les choses. J'attendait de plus l'accouchement de ma fiancée et j'ai eu l'immense déception de voir que le bébé était 100% café (même pas une goutte de lait !). Il ne sera pas malheureux puisque le vrai Papa est le chanteur du groupe de rap Black Mbolo que certain d'entre vous connaissent. Bref voilà un mauvais mois qui vient de s'achever. Mais l'été commence bien avec humour et détente. Evidemment les cours de wolof ont également été interrompus et devraient reprendre dans quelques jours. Depuis une semaine l'équipe de planete-senegal.com vous a concocté de belles surprises avec plein de nouvelles idées parmis lesquelles une page où tous les internautes du Sénégal ou amoureux de ce pays pourront s'inscrire afin de constituer un annuaire web des utilisateurs d'internet par villes et pays. Egalement une nouvelle page faisant l'inventaire de la culture sénégalaise à l'étranger (les restaurants présent dans les grandes villes d'Europe et du Canada, les boutiques, les disquaires etc....). Vous pourrez ainsi vous faire une petite idée du pays à Lyon, Berlin ou Amsterdam !!! Afin d'être complète, vous êtes mis à contribution. Si vous connaissez un restau ou autre lieu typiquement sénégalais en Europe ou au Canada, n'hésitez pas à m'en faire part en m'envoyant le plus de docs possible (menu, prix, photo, etc...). J'ai également trouvé sur le web une page de musiques sénégalaises en MP3 (ce n'est pas moi qui l'ai faite puisque c'est interdit). Pour ceux qui ont le dernier CD de Youssou Ndour mais qui l'ont rayé.... Enfin bref plein de bonne chose pour me faire pardonner !!!
A bientôt sur planete-senegal.com et n'hésitez pas à participer à ce bulletin !


3) Les messages des senegaliens
(disponible également sur le forum de

planete-senegal.com à www.planete-senegal.com/forum/) :

Ecrit par Chloé le 9 juillet 2000

de la part de Chloé A.
Message :
Coucou! J'étais bien triste que mon site préferé ait disparu pendant d'interminables mois .....
Alors dis-nous comment ça se passe pour se réinscrire aux cours de wolof, etc....
Vive (longtemps!)Planete-Senegal.com !
(merci Chloé, tu es la plus fidèle ! )

Foncer donc vite sur le Forum pour réalimenter la page.
Les meilleurs messages paraissent dans cette lettre d'info publié à plus de 3000 internautes!
www.planete-senegal.com/forum/


4) La Météo : Aujourd'hui ZIGUINCHOR

Mis à jour: 12:00 PM GMT le 10 juillet, 2000
observé à Ziguinchor, Senegal

Les températures 88° F / 31° C
Index de chaleur 103° F / 40° C
Humidité 75%
Point de saturation 79° F / 26° C
Vent Ouest à 9 mph / 14.5 km/h
Pression 29.94 pouce / 1014 hPa
Conditions météo Généralement nuageux
Lever du soleil 06:46 AM (GMT)
Coucher du soleil 07:35 PM (GMT)
Lever de la lune 02:48 PM (GMT)
Coucher de la lune 02:07 AM (GMT)

Visitez également la météo en direct complète des plus grandes villes du Sénégal sur
la page météo de www.planete-senegal.com


5) Infos diverses

Participez au concours du site Africultures en soumettant vos proverbes africains :
http://www.africultures.com/jeux/proverbes/proverbes.htm


 6) L'association du jour : Association Nantaise Siné-Saloum

Pour le retour du bulletin de Planete-Senegal.com, allons dans la fabuleuse région du Siné-Saloum avec l'ANSS
"L'association nantaise Sine Saloum se propose d'aider au développement éducatif, touristique, économique du delta du Saloum au Sénégal."
Pour les contacter:
Association Sine Saloum
19, av Jacques Auneau
44300 NANTES

sinesaloum@multimania.com
http://www.multimania.com/sinesaloum/

Visitez également la page association de www.planete-senegal.com
Si vous-même dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le Sénégal, n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail !


7) Le site du jour : Les femmes dans la littérature Sénégalaise

Un site culturel très complet concernant la place qu'occupent les femmes dans la création littéraire au Sénégal.
"
Ce n'est qu'après les Indépendances que plusieurs femmes de lettres telles que Nafissatou Diallo, Mariama Bâ, Aminata Sow Fall, Ken Bugul, Myriam Warner Vieyra se lancent dans l'aventure romanesque. D'autres choisisent la poésie comme Kiné Kirama Fall, auteure de Chant de la rivière fraîche et de Les Elans de Grâce ou Ndiaye, Ndèye Boury.
Parmi les écrivaines les plus remarquées de ces dernières années, on compte entre autres Khadi Fall, Tita Mandeleau , Khady Sylla et Marie NDiaye qui vit en France depuis sa naissance et n'a plus guère d'attaches avec le pays d'origine de son père. "
jvolet@cyllene.uwa.edu.au)
http://www.arts.uwa.edu.au/AFLIT/CountrySenegalFR.html

Si vous avez fait un site parlant du Sénégal, et voulez le voir paraître dans cette rubrique, n'hésitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'êtes pas un webmaster chevronné (!) et voulez voir votre expérience publiée sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail vos textes et photos qui seront
transformés en page web sur le serveur planete-senegal.com.


www.planete-senegal.com
Christian COSTEAUX
bulletin 12  juillet 2000

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