Société - Culture au Sénégal
                    
 walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: mamia   
Date:   17-07-05 21:04   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

Salut Ă  tout le monde je suis nouvelles sur le forum, j'ai besoins d'un renseignement sur les walo walo.
Les walo walo sont-t-il des nobles.
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: filo 
Date:   19-07-05 03:41   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

Le wallo wallo etait le royaume des Wollofs juste sous le fleuve Sénégal, ds sa partie occidentale
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: Lenz 
Date:   21-07-05 18:25   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

J ai trouvé ce texte a WIKIPEDIA! J espere tu comprend Anglais!

Waalo [Waalo Waalo (Oualo)]
The Kingdom of Waalo (Oualo) was a kingdom on the lower Senegal River in West Africa, in what are now Senegal and Mauritania. It included parts of the valley proper and areas north and south, extending to the Atlantic Ocean. To the north were Moorish Emirates; to the south was the Kingdom of Cayor; to the east was Jolof (Diolof).

Waalo had a complicated political and social system, which has a continuing influence on Wolof culture in Senegal today, especially its highly formalized and rigid caste system. The kingdom was indirectly hereditary, ruled by three matrilinial families: the Logar, the Tedyek and the Joos, all from different ethnic backgrounds. Its history includes constant struggles among these families to become "Brak" or king of Waalo, as well as wars with its neighbors.
The legendary 13th century founding of Waalo was by NDiadiane Ndiaye, a man reputed to be from the north, who lived a strange existence in the Senegal River for years until he was selected by the Waalo people as their king after performing amazing feats. Later he went on to become first ruler of a united Jolof (Diolof) Empire which lasted until the mid 16th century.
The royal capital of Waalo was first Diourbel (Guribel) on the north bank of the Senegal River (in modern Mauritania), then Ndiangué on the south bank of the river, then the capital was moved to Nder on the west shore of the Lac de Guiers. Waalo was subject to constant raids for slaves not only from the Moors but also in the internecine wars.
The Brak ruled with a kind of legislature, the Seb Ak Baor, over a complicated hierarchy of officials and dignitaries. Women had high posiitons and figure promininently in the political and military history.
Waalo had lucrative treaties with the French, who had established their base at the island of Saint-Louis (now Saint-Louis, Senegal) near the mouth of the river. Waalo was paid fees for every boatload of gum arabic or slaves that was shipped on the river, in return for its "protection" of the trade.
Eventually this protection became ineffective. Vassals of Waalo, like Beetyo (Bethio) split off. Waalo was conquered in 1855 by the French, in a campaign of Governor Louis Faidherbe. This was the first major inland conquest by the French, by which they eventually obtained all of Mauritania, Senegal and French Sudan (now Mali). In all, Waalo had 52 kings since its founding.
Waalo had its own traditional African religion. The ruling class was slow to accept Islam, which had spread in the valley; the Brak converted only in the 19th century.
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: mamia   
Date:   21-07-05 22:04   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

désolé Lenz mais je ne comprend l'anglais est ce que tu peux me le traduire en français j'ai vraiment besoins d'information sur les walo walo.
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: Lenz 
Date:   22-07-05 13:15   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

Waalo (le roi s'appelle BRAK)etait entre les suivantes etats:
au Nord: le peuple de Znaga ou les Emirates de Maures ou les Emirates d'Almoravides,
au ouest: l'etat des Fulfulbe Fuuta Tooro
au sud-ouest: royaume de Djolof (le roi s'appelle Mbour), le lac de Guiers ets environ le frontiere
au sud: le royaume de Kaajor (le roi s'appelle DAMEL)

J'ai trouver ce texte de Hady Alpha (Doctorant) , mais je ne sais pas ou!
Nous avions vu plus haut que la mort du chef des Almoravides, Abou Bakr Ben Oumar Lamtouni en 1087 donna le signal de l’exode des Sèrères, des Lebous, des Wolofs et de certains groupes de Peuls. En effet, des régions de l’Inchiri, du Tagant, etc, ils se dirigèrent vers la moyenne et la basse vallées du fleuve Sénégal, Près de deux cents ans après leur arrivée, les descendants des premiers autochtones maîtres de la terre ou " Lamanes " sérères (clan NGOM) et " Lamanes peuls (clan JAW) installés sur la rive droite du delta sont à l’origine de la constitution d’un des premiers Etats dans l’aire géographique habitée par les Wolofs. Il s’agit du Royaume du Waalo Brak dont la légende du fondateur, Njaajaan Niaay serait liée à un descendant d’Abou Bakr Lamtouni et d’une femme peule. Faatimata Sal.

Le règne du fondateur de la dynastie, Nijaajaan Nijaay, se situerait selon les grands chroniqueurs du Waalo Brak :
• de 1186 à 1202 pour Amadou Wade ( 1866 – 1961)
• en 1215 pour Buubu Sal.
• De 1215 à 1256 pour Yoro Booli – Jaw (1847 – 1919) qui est la source principale de la tradition historique des Wolofs. (Aamadou Wade, Chronique du Wâlo sénégalais (1186 ? – 1885), traduite

Du Wolof, par Bassirou Cissé publiée et commentée par Vincent Monteil, in Bulletin de l’IFAN, T.XXVI, sér.B, n° 3 – 4, 1964, pp. 440 – 498. ; voir également Boubacar Barry, le Royaume du Wâlo du traité de Ngio en 1819 à la conquête en 1855 in Bull.IFAN, T.XXXI,sér.B n°2 1969, pp. 339-446) Selon Yoro Jaw, " le Brak/ (Rois) est avant tout un " porte-bonheur " d’où, peut-être, son titre de Brak, dérivé de l’arbe " baraka " (en maure : barka), qui signifie " bénédiction (divine) ", c’est – à-dire " charisme ". (Vincent Monteil, Chronique du Wâlo sénégalais par Amadou Wade (Introduction), idem. Pp 451 – 452). Le mot Brak serait dérivé du nom de Barka Bo Mbooc, premier Brak du Waalo après Njaajaan Njaay. Le Waalo Brak est une monarchie élective et héréditaire. " Au Waalo, le Brak est élu, sous la condition d’appartenir obligatoirement, par sa mère, à l’une des trois familles ou meen : Loggaar, Joos et Teejekk. Les chroniqueurs s’accordent à donner une origine berbère aux Loggaar, sérère aux Joos, et peule aux Teejekk. Comme le suggère Robin, on ne peut, voir dans cette interprétation qu’une concession aux voisins agités du Waalo ; " le brak se trouvait toujours être un parent ou allié des uns et des autres, sinon de tous " (J.Robin, D’un royaume amphibie et fort disparate, Africain studies, vol. 5, n°4, décembre 1946, p.254 ;cité par Boubacar Barry, Le Royaume du Waalo. Le sénégal avant la conquête, Nouv. Ed., Karthala, 1985, pp. 72-73.)

Le Brak était élu par un Conseil, le seb ak baor qui avait la réalité du pouvoir : élire, destituer, conseiller le Brak composé de trois Grands Electeurs : le premier, le Jogomaay ou maître des eaux, président de l’assemblée, le second, le Jawdin ou maître de la terre, le troisième, le maalo ou trésorier général du royaume. Tous les trois membres du Seb ak baor étaient les descendants de l’ancien lamane, maître de la terre, JAW, qui dirigeait le Waalo avant Njaajaan Njaay et qui conserva des prérogatives importantes dans la vie politique du pays depuis la fondation du royaume juqu’à la conquête coloniale en 1855. (Boubacar Barry, le Royaume du Waalo, 1985, pp 47 et 73).

L’administration du royaume était assez complexe. Le Waalo Brak était divisé en petits états gouvernés par des roitelets appelés Kanngam, sous l’autorité du Roi. Les chefs de Provinces étaient issus de la famille du brak qui les désignait avec l’accord des Kanngam : parmi ces provinces, on peut citer le Riket qui commandait le Khomak ou Lac Cayar (ajourd’hui Lac Rkiz) et le Manngas, sur la rive droite. Les chefs politiques, reprèsentants les grandes familles ; avaient leurs domaines, berceaux des familles de grande noblesse qui étaient autonomes, par exemple, sur la rive droite :
• les Etats du Jawdin (maître de la terre) partaient de Njugar à Njaw ; le lamane Jaw recevait le commandement de la province de Tunggen et sont fils Ntany celle de Nalewu
• le Maalo (trésorier du royaume, cousin maternel du Lamane Jaw) commandait la province de Gammaalo, de Marwayal à Njugar ;
• le Jogomaay (maître des eaux) avait comme seul Etat le village de Tunngeen dans Jurbel, la capitale, à l’est de la ville de Rosso-Mauritanie

parlant du " tableau économique, politique et social du Waalo au XVII è siècle, Boubacar Barry écrit : " … quant au nord, en Maurritanie, et au sud, au Ferlo, tout était grillé par un soleil implacable. Le pays tout entier est journellement parcouru par les peuples nomades. En mars 1686, La Courbe, parlant de Boucsart, nous décrit ainsi cette zone de transhumance : " Ce sont cinq ou six villages sur les bords de l’eau. Tout le pays d’alentour est plat et rempli de pâturages. Les Maures, appelés Sargantes qui nourrissent beaucoup de chameaux, beaucoup de bestiaux viennent jusque-là et payent quelques coutumes aux seigneurs du pays pour y laisser paître leurs bestiaux. " (P. Cultru, Premier voyage du sieur, de la Courbe fait à la coste d’Afrique en 1685,Paris, 1913, p 131 ; cité par B.Barry, le Royaume du Waalo, 1985, pp. 57-58).

Le (Royaume du ) Waalo, au moment de sa plus grande extension, occupait un territoire plus large, à cheval sur les deux rives du fleuve Sénégal. Le déplacement de ses frontières est intimement lié à son histoire dominé par la pression constante de ses voisins … D’après Yoro Booli Jaw, sur la rive droite la limite du Waalo et du pays des Trarzas s’éloignait jusqu’à soixante cinq kilomètres environ du fleuve. Elle rejoignait la mer suivant une ligne droite, jalonnée par les puits et lieux de campements suivants : Tissilingue, puits cinq kilomètres de N’Gormadd, ou source du lac Khomack (Cayar), Tandalha, puits et campements très fréquentés : M’Balaytine, Gagarite, Tomogatine (Togomonte des Wolofs), village Wolof peuplé : N’Deungara, campement ; Baridiane village dépeuplé et détruit depuis longtemps par les Maures, dont le puits est encore maintenu en bon état ; Touaïdirmi et M’Beungareunde (ou M’Neugoreum), campements, la mer. En un mot, le Waalo avait pour limite, au nord, le pays Trarza, à l’est, le Fuuta Tooro, au sud le Jolof, au sud-ouest, le Kajoor et, enfin, à l’ouest, l’océan Atlantique. C’est cette position qui explique en grande partie l’histoire mouvementée du royaume qui subira constamment la pression de ses voisins … et dont une grande partie sera conquise par (ceux-ci), le Fuuta Tooro, le Trarza, le Kajoor. " Boubacar Barry, le Royaume du Waalo, 1985, pp.42-43et 79-80.)

Le Royaume du Waalo Brak entra très tôt en contact avec les Européens et le commerce atlantique :
• il commerça avec les purtugais dès 1448 ;
• il vit les français s’établir sur l’île de Sor, à Ndar (qui deviendra Saint-Louis du Sénégal) où ils fondèrent un comptoir commercial en 1659.

" Le processus de recul des Waalo-Waalo (habitants du Royaume du Waalo Brak) ; de la rive droite à la rive gauche, a, pendant tout le XVIIIè siècle, des causes internes (à savoir) les interminables guerres civiles liées à la lutte pour le pouvoir des familles-meen (maternelles)- Loggar, Joos et Teejekk-mais également externes, notamment les pressions des voisins, le Kajoor au sud, les Maures Trarzas au nord et le prosélytisme du Fuuta Tooro depuis sa révolution islamique de 1776. La première guerre civile du Waalo, sous le Brak Bër Caaka (1630 – 1670 ), par l’âpreté de la lutte, avait entraîné la destruction de la plupart des villages de la rive droite, et la capitale Njurbel qui était complètement rasée.

La capitale qui était NJURBEL (ou JURBEL) depuis la fondation du royaume sera alors tranférée vers 1702 de la rive droite à la rive gauche, par le Brak Yerim Mbanyik qui règna de 1670 à 1703, notamment à NJANY (jusqu’en 1782) puis XUUMA (KHOUMA) près de la frontière avec le Fuuta Tooro et enfin NDEER. Ce transfert de la capitale de rive droite à la rive gauche fut le signal du déclin du Waalo qui ne sera désormais plus qu’un petit royaume sous la pression constante des Maures Trarzas. S’est affaibli par cette pression, miné par des guerres civiles permanentes et par les conséquences du commerce atlantique ainsi que par les interventions du comptoir de Saint-Louis dans ses affaires intérieures que le Waalo Brak fera face à la conquête coloniale menée par Faidherbe en 1855.

Amadou Oumar Dia

Ensemble, brisons l’impunité

L’omniprésence des rapports de force et l’état de belligérance permanent sous le continent africain instaurent une instabilité croissante si bien qu’aujourd’hui dans plusieurs régions du continent la famine, les disettes et le manque de couverture sanitaire - pensons un peu au Sida qui ravage plus que la guerre - sont devenus des réalités auxquelles l’humanité est confrontée.

La télévision, les médias nous rapportent en Longueur d’années des images atroces, horribles, de véritables squelettes vivantes, victimes de l’oppression et de la paranoïa des chefs d’Etat africains qui s’accrochent opiniâtrement à la magistrature suprême.

Tout le monde a en mémoire les pertes humaines causées par les guerres civiles orchestrées par des chefs d’Etat africain imperturbables. Quoi de plus inquiétant, crispant pour l’avenir de l’humanité que ces milliers de réfugiées foulant des terres étrangères et ne sachant à quel saint se vouer ?

Pourtant dans les pays développés et démocratiques les populations se délectent, s’abreuvent à la grande fontaine de liberté, de tolérance et du respect des droits, permettant ainsi de pérenniser une stabilité, source de leur prospérité. Certes, l’homme est à mesure de toute chose ; toutefois cette vocation exclusivement humaine ne trouve ses lettres de noblesse qu’en dehors de tout terrorisme d’esprit. Malheureusement la démocratie et la liberté sont deux vertus absentes sur le continent africain où l’instabilité politique et sociale est voulue par les potentats qui s’obstinent à préserver leur fauteuil présidentiel au prix d’énormes sacrifices et en dehors de toute légitimité populaire. La situation est plus que critique. Quoique le continent africain soit le théâtre de guerres civiles, d’épidémies et crises politiques profondes, on ne peut pas parler d’une volonté vraiment africaine pour stopper cette descente dans les affres de l'enfer, pour sauver ce qui peut l’être encore.
Les africains, sont-ils "les damnés de la terre ?", pour ne connaître qu’une histoire tumultueuse qui se résumerait en trois mots : esclavage, colonisation et dictature ?
Les Chefs d’Etat insidieux, intrépides et thaumaturges doivent comprendre que l’épanouissement, physique et spirituel sont des droits inaltérables, inaliénables et inhérents à la nature humaine.
A tous ceux qui ont participé au discrédit du continent africain en l’occurrence les chefs d’Etat et leurs coéquipiers dociles et manœuvrables, je voudrais dire cependant que l’heure des grands procès sonnera. Elle mettra fin au long monologue arrogant et prétentieux. La justice jouera pleinement son rôle en entamant un grand travail contre l’impunité, contres les garanties statuaires qui rendaient les bourreaux imperturbables et inamovibles.
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: Lenz 
Date:   22-07-05 13:16   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

stp, demand un ami pour traduction, mon Francais est trop pauvre!
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: Lenz 
Date:   22-07-05 16:03   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

Excusez-moi, j ai changé ouest + est!
Waalo (le roi s'appelle BRAK)etait entre les suivantes etats:
au Nord: le peuple de Znaga ou les Emirates de Maures ou les Emirates d'Almoravides,
au Est: l'etat des Fulfulbe Fuuta Tooro,
au Sud-Est: royaume de Djolof (le roi s'appelle Mbour), le lac de Guiers etait environ la frontiere,
au Sud: le royaume de Cayor ou Kaajor (le roi s'appelle DAMEL)!
Au Ouest se trouve l'Atlantique. Walo s'a trouvé dans la bouche de fleuve SENEGAL.
Les capitals sont été Diourbel (Guribel), puis Ndiangué apres Nder a coté de Lac de Guiers.
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: mamia   
Date:   22-07-05 18:35   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

Mercie j'ai compris les diaw sont-ils des nobles?
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: belacel 
Date:   27-07-05 14:03   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

bonjour
je m'appel madani, je cherche une famme pour marié.


si vous intérisser voir mes information:
nom et prénom: belacel madani
nationnalité algérienne un ingénieur d'état en informatique agé de 26 ans
mon @ postale
necmarai centre wilaya de mostaganem algérie
numéro de téléphone 072 01 21 91
mon @ Ă©mail belacelmadani@yahoo.fr
 
 Geneologie: Jolof Empire and Vassal Kingdoms
Auteur: Lenz 
Date:   09-08-05 11:12   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

J'ai trouvé ca dans le cyber: Tu vas trouver le noms de familles de noble. (source: http://www.jolofempire.com/JolofGenealogy.htm)l

Jolof Empire and Vassal Kingdoms

Matriarchy

The matriarchal system is the foundation of the imperial social organization, from Ancient Egypt to the pre-colonial Mandingo Empires. Jolof Empire was ruled by an hereditary Emperor. The royal lineage was matrilineal as were all precedent West African monarchies. The Emperor's sister provided the heir to the throne.

The Queen Mother is so important that, every Emperor and King carry their mothers' names as middle names. This matriarchal concept has been the standard of naming ceremonies in the society. That is why most men have female middle names: you are the son of your mother!

Women do not have to give up their last names when they get married, since their family names are as important as the men's names.

In contrast, there has never been proven of the existence of matriarchy in Caucasian or Arab cultures. Here, the foundation of the social organization is based on patriarchy, an exclusively male dominant society.

Chronology

1000 - Jolof Empire founded 1875 - 1890 merged with Songhay Empire of Ahmadu Shaykhu

1895 - 1902 invaded by France and transformed into "French Colony of West Africa"

Sovereign Rulers (title Buur-ba Jolof)

- Ndaw/Ndao/Ndow Royal Family -
1570 - 1576 Alboury Sarr Ndaw
1719 - 1752 Birayam Madjiguene Ndaw
1753 - 1760 Lat Codou Madjiguene Ndaw

- Njay/Ndiaye Royal Family -
1770 - 1805 Mba Kumpaas Njay
1805 - 1838 Mba Buuri-Ă‘abu Njay
1838 - 1838 Birayamb Kumba-Gey Njay
1838 - 1851 Al-Buuri Tam Njay
1851 - 1853 Baka-Kodu Biige Fakontè Njay
1853 - 1855 Birayamb Aram Xurèja Njay
1855 - Biram Pènda Kumba-Ngwi Njay
1855 - Mbani-Paate Kumba-Ngwi Njay
1855 - Lat Kodu Ma-Jigeñ Peya Fal Malik Njay
1855 - Birayamb Ma-Jigeñ Peya Fal Malik Njay
1855 - Al-Buuri Peya Biram Njay
1855 - 1858 Bakan Tam Yaago Njay
1858 - 1862 Taanor Fatim Jeng (regent)
1862 - 1871 Bakan Tam Xaari Jaloor Njay
1875 - May 1890 Al-Buuri Sènabu Njay
3 Jun 1890 - 1895 Samba Laobe Pènda Njay
3 Nov 1895 - 1900 Buuna Al-Buuri Ma-Jigeñ Njay

Kayor
... Kayor founded as vassal kingdom of Jolof
1549 - Kayor independent
1555 - 1874 Kayor and Bawol merged into a union
1868 - 1871 invaded by France and transformed into "French Colony of West Africa"

Sovereign Rulers (title Dammel)

- Faal Royal Family -
1790 - 1809 Amari Ngone Ndèla Kumba Faal
1809 - 1832 Biram Fatma Cub Faal
1832 - 1855 Maysa Tènde Jor Samba Faal
1855 - 1859 Birima Ngone Latir Faal
1859 - 1861 Ma-Kodu Kumba Yande Faal
May 1861 - 8 Dec 1861 Ma-Jojo Jegeñ Kodu Faal (1st term)

- Jop/Diop Royal Family -
1862 - Dec 1863 Lat Jor Ngone Latir Jop (1st term)

- Faal Royal Family -
Jan 1864 - 1868 Ma-Jojo Jegeñ Kodu Faal (2nd term)

- Jop Royal Family -
12 Feb 1871 - 1882 Lat Jor Ngone Latir Jop (2nd term)

- Faal Royal Family -
Jan 1883 - 28 Aug 1883 Amari Ngone Faal
28 Aug 1883 - 6 Oct 1886 Birima Xurèja Mob Faal

Bawol
... Bawol founded as vassal kingdom of Jolof
1555 - Bawol independent
1555 - 1874 Kayor and Bawol merged into a royal family union
3 Jul 1894 invaded by France and transformed into "French Colony of West Africa"

Sovereign Rulers (title Teeñ)
- Fal/Faal/Fall Royal Family –

1790 - 1809 Amari Ngone Ndèla Kumba Faal (2nd term)
1809 - 1812 Ce Yasin Jeng Faal
1812 - 1815 Ce Kumba Fatim Pènda Faal
1815 - 1825 Amari Jor Borso Faal
1825 - 1832 Biram Fatma Cub Faal
1832 - Ma-Kodu Kumba Yande Faal (1st term)
1832 - 1842 Lat Jegeñ Faal
1842 - 1842 Malik Kumba Jaring Xuja Faal
1842 - 1854 Maysa Tènde Jor Samba Faal
1854 - 1855 Ce Yasin Ngone Jegeñ Faal (1st term)
1855 - 1856 Ma-Kodu Kumba Yande Faal (2nd term)
1856 - 1860 Ce Yasin Ngone Jegeñ Faal (2nd term)
1860 - Ma-Kodu Kumba Yande Faal (3rd term)
1860 - 1871 Ce Yasin Ngone Jegeñ Faal (3rd term)
1871 - 1873 Ce Yasin Jor Galo Gana Faal (1st term)

- Jop/Diop Royal Family -
1873 - 1874 Lat Jor Ngone Latir Jop

- Faal Royal Family -
1874 - 1890 Ce Yasin Jor Galo Gana Faal (2nd term)

- Jeng Royal Family -
1890 - 3 Jul 1894 Taanor Goñ Jeng

Waalo
1287 Waalo founded as vassal kingdom of Jolof
Feb 1855 invaded by France and transformed into "French Colony of West Africa"

Sovereign Rulers (title Brak)

- Mboj Royal Family -
1795 - 1805 Njak Kumba Xuri Yay Mboj
1805 - 1810 Saayodo Yaasin Mboj
1810 - 1816 Kuli Mbaaba Mboj
1816 - 1825 Amar Faatim Mborso Mboj
1825 - Dec 1827 Yerim Mbañik Teg-Rella Mboj
Dec 1827 - 1830 Fara Penda Adam Sal Mboj (1st term)

- Daaro Royal Family -
7 Jul 1830 - 1832 Xerfi Xari Daaro (1st term)

- Mboj Royal Family -
1832 - 1833 Fara Penda Adam Sal Mboj (2nd term)

- Daaro Royal Family -
21 Jul 1833 - 1835 Xerfi Xari Daaro (2nd term)

- Mboj Royal Family -
1835 - 30 Oct 1840 Fara Penda Adam Sal Mboj (3rd term)
Nov 1840 - Feb 1855 Mö Mboj Maalik Mboj

Saalum
1493 Saalum established as vassal kingdom of Jolof
1800 invaded by France and transformed into "French Colony of West Africa"
1969 included in independent Republic of Senegal as a "Region"

Sovereign Rulers (title Buur Saalum)

- Ndaw/Njay/Mboj/Faal/Juf Royal Families - Gèlwar
1639- 1645 Ndene Njay Maron Ndaw
1732- 1734 Biram Xurèja Tiek Ndaw
1734- 1753 Ndene Njay Bige Ndaw
1767- 1769 Sandene Kodu Bige Ndaw
1778- 1787 Sandene Kodu Fall Ndaw
1787 - 1803 Biram Njeme Ă‘axana Njay

By O. Ndiaye Leyti, Historian Curator Goree Island Museum, Senegal, 1966.
 
 Re: walo walo au sĂ©nĂ©gal
Auteur: angelle wane 
Date:   29-01-13 22:02   >>> RĂ©pondre Ă  ce message

vrai !waw !ami !langue! !angie!

Message posté par un internaute non inscrit dont la géolocalisation détectée est : VILLE : Dakar PAYS : Senegal
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